Chronologie OVNI par Godelieve Van Overmeire retour


ANNEES 1977, 1978 et 1979

        1977, 1 janvier
        FRANCE, Chabeuil/Combovin
Vers 19 h 45 revenant par la route où peu avant ils avaient aperçu une "étoile" qui semblait suivre la voiture, les Perez s'arrêtent. Sur la gauche ils observent un objet elliptique métallisé à 300 m de distance, à une vingtaine de mètres au-dessus d'un champ en pente. Il éclaire autour de lui et vers le sol une nappe de brouillard. Sous sa base s'échappent des flammèches rouges et bleues. Une masse sombre comme une tige se trouve au-dessus et à gauche de l'engin qui stationne. Au bout de 8 à 10 minutes d'observation M. Pérez se décide à faire des appels de phares. A ce moment l'engin s'élève à la verticale lentement d'abord sans bruit, puis il démarre à vitesse fantastique vers le nord, décrit une boucle à 180° cap au sud en direction de Châteaudouble. (M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet... " - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 636, 637)
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        1977, 1 au 4 janvier
        PORTUGAL, Leca da Palmeira-Oporto
Un ovni, réapparaissant 4 jours de suite à partir du 1 janvier, toujours vers 19 heures, fut filmé par une équipe d'une station de télévision portugaise. Cependant, ces mêmes jours, c'est vers 5 heures du matin que dans la région d'Oporto, des témoins rapportèrent entendre le bruit, d'un "grand engin électrique". A chaque fois, ce bruit durait environ 20 minutes et s'arrêtait net. Ce bruit semblait venir de la mer. (collaboration of Larry Fenwick, CUFORN, Joaquim Fernandes, CNIFO, Willy Smith, UNICAT Project; listing de Victor Lourenço; "Diario Popular" 5.1.77)
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        1977, 3 janvier
        PORTUGAL, Carrapito-Guarda
A 21 h 30, le témoin, âgé de 24 ans, entendit un son bizarre et vit près de sa maison un objet comme une boîte sombre rectangulaire d'environ 2 mètres de haut sur 1 m de large, au-dessus d'un arbre. La petite soeur de 9 ans, à la vue de cet objet, eut une crise nerveuse. Le lendemain une dépression circulaire se trouvait près de l'arbre où c'était trouvé l'ovni, qui s'évanouit brutalement. Plus tard, aucune herbe ne poussa plus sur la dépression au sol, tandis que les animaux refusaient d'y passer. (collaboration of Larry Fenwick, CUFORN, Joaquim Fernandes, CNIFO, Willy Smith, UNIICAT Project; listing de Victor Lourenco)
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        1977, 6 janvier
        CANADA, Montréal
Mme Malboeuf, assise devant la fenêtre, vit à 01 h 15 un objet en forme de calotte ellipsoïdale atterrir sur le toit plat du troisième étage à 30 m d'elle, de l'autre côté de la rue. Une seconde plus tard elle vit deux ufonautes hauts de 2 m, vêtus de blanc et casqués arriver au rebord du toit, examiner le sol, la rue, et le ciel et retourner vers l'engin qui s'envola aussitôt. Traces sur le toit enneigé: surface ovale de 6 m où la neige fondue s'était recongelée, deux autres traces ovales et quatre traces de pas du centre vers le coin de la plate-forme. (Inforespace n° 36 p. 17, 18 et n° 53 p. 23) Heure: 1 h 15 (du matin) environ. Durée: 45 secondes au maximum. Endroit: A Montréal, rue Casgrain, à l'angle de la rue Beaubien. Témoins: Mme Malboeuf et trois autres personnes. Le site, en plein coeur de Montréal et à proximité immédiate d'une faille géologique majeure, se trouve à la hauteur d'une maison de trois étages, sur la rue Casgrain, au sud de la rue Beaubien. Notre témoin principal, Mme Malboeuf, est âgé d'une cinquantaine d'années et vit dans un logement, au rez-de-chaussée, en compagnie de son fils André, âgé de vingt-cinq ans. Il lui est coutumier de se lever la nuit, dans l'impossibilité de dormir à cause d'une toux bronchitique. Cette nuit-là, cependant, elle vit surgir lentement une forme blanche et lumineuse sur un fond de ciel non couvert. L'objet arrivait du bloc de maisons qui se situe immédiatement au coin sud-est des rues Casgrain et Beaubien. L'objet venait du nord à quelque 5 mètres au-dessus des toits. Son étonnement fut aussi immédiat: elle ne connaît rien de semblable à cette sorte d'huître avec des lumières. L'objet, qui semblait blanc au premier instant de la perception, lui parut fait de métal argenté. Sa forme, ovale, très aplatie et bombée sur le dessus seulement, portait à sa base une série de quatre ou cinq lumières blanches, pas très fortes en intensité, et qui semblaient se continuer tout autour de l'"huître". Elle a très distinctement vu l'objet atteindre la ruelle et parvenir au-dessus de la maison qui commence, à la ruelle, la série continue de logements, de l'autre côté de la rue. Pourtant, l'ovni arrêta dès qu'il eut atteint ce point et, sans aucune transition, descendit directement, croit-elle sur le toit. L'objet fut rapidement caché par le rebord de la façade du logement, au troisième étage, par l'effet de perspective. Il ne fallut que l'espace d'une seconde pour qu'apparaissent deux personnages venant de toute évidence de l'objet arrêté à l'instant.
Mme Malboeuf ne les as pas vus sortir de cet objet, cependant. Bientôt, les deux hommes atteignaient la façade de cette maison et parvenaient, l'un derrière l'autre, diagonalement, au coin du toit du logement mitoyen. A ce point, pour le témoin, ils paraissaient être côte-à-côte. Ils lui paraissaient être très grands et très minces, deux mètres peut-être, avec de longs bras, sans pourtant que leur démarche semble anormale. Ils étaient vêtus d'une seule pièce blanche et étaient éclairés par la lumière ambiante de l'hiver lorsque la neige recouvre tout. Elle ne put distinguer leur figure. Elle affirme que leur tête était couverte d'un "casque de bain" serré, lui rappelant celui des hommes-grenouilles. Ces deux personnages, avec beaucoup de naturel, regardèrent vers le sol et vers la rue, un peu autour d'eux, plus longuement vers le ciel, et retournèrent sur leurs pas. Aussitôt que leur tête ne fut plus dans le champ de vision du témoin, l'objet s'éleva d'environ 7 mètres et se dirigea vers la rue Bellechasse à la même vitesse qu'à l'arrivée. Ce n'est que le lendemain vers 18 h 00 qu'elle en parla à son fils, car ce dernier n'avait pas dormi à la maison la nuit précédente. André fit le tour du bloc de maisons, trouva un moyen pour se rendre sur le toit, et y alla. A ce propos, il faut un homme avec une bonne dose d'audace et plus que la force d'un enfant pour atteindre ce but. A ce moment, le souffle lui manqua, son état nerveux grandit, et il conserva cette tension durant plusieurs jours. André se trouvait en présence d'une grande surface de glace comportant une dépression vers le centre avec un diamètre moyen de 6 mètres. Deux autres petites surfaces glacées, ovales, étaient disposées à proximité de la grande; il redescendit et fit part à sa mère de sa découverte. Naïvement, il possédait une preuve éclatante pouvant convaincre tout le monde Qu'une soucoupe volante était venue... Mais André ne savait pas qu'en matière d'ovni rien n'est plus négligeable qu'une preuve pour qui se refuse à connaître le sujet. Samedi le 8 janvier, vers midi, le photographe Gilles Lafrance du journal de Montréal vint. Les deux hommes montèrent photographier le grand cercle enneigé. Les articles, accompagnés des photos de Gilles Lafrance, qui sont ensuite parus dans ce journal et aussi dans le Sunday Express, soutiennent d'un ton positif le récit de Mme Malboeuf. Ces articles " Un ovni dans le ciel de Montréal", et «  Say saucer landed on roof home" , le 9 janvier 1977. (enquête de Marc Leduc pour UFO Québec - Résumé fait par Denis Boucher pour Québec Insolite)
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        1977, 7 janvier
        MEXIQUE, Acapulco
(cfr: 22 oct. 72) Mercado est en visite chez des amis. Tout à coup une voix féminine retentit et lui demande d'aller la rejoindre dans la salle de réception d'un hôtel. Cette femme le conduit ensuite vers un petit port, où se trouve Auri (note de vog: 1979 affaire Cergy-Pontoise, cfr. Jimmy Guieu, même nom pour l'extraterrestre) . Conversation au sujet de l'aura qui entoure les gens, les animaux et les plantes durant un vol en soucoupe. Ensuite retour à terre, sur le même quai. Mercado prend un taxi pour retourner à la maison de ses amis. (Mitarbeiter, "Ufo Geheimnisse", Berlin, Januar 1998)
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        1977, 18 janvier
        BELGIQUE, Huy
A.B. en voiture vers 20 h 00, remarqua à 50 m devant lui et à environ 500 m d'altitude, une lueur assez puissante qui semblait se déplacer à la même allure que lui (60 km/h) et survolant la chaussée. L'OVNI était très lumineux, avait une forme rectangulaire, entouré d'un halo lumineux rond, d'un blanc cru légèrement jaunâtre. Perdant la chose de vue à cause du chemin suivi, la retrouvant ensuite le témoin arriva chez lui d'où il continua à observer l'OVNI à pied. Celui-ci survola la centrale nucléaire de Tihange, et puis stoppa net et rebroussa chemin. Lors de cette manœuvre inattendue le témoin se sentit pour la première fois inquiet. L'objet s'arrêta à l'aplomb de la centrale, plus haut et à gauche de la longue cheminée. Le témoin appela alors son épouse et ses enfants, et tous purent voir pendant une dizaine de minutes l'étrange spectacle, ne voyant toutefois plus l'OVNI que sous forme arrondie et de la taille d'un dixième du diamètre lunaire. (Inforespace n° 44 de 1979, p. 17, 18)
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        1977, 22 janvier
        BRESIL, Itapua (Viamao)
Vers 21 h 15 Felizberto A. Martins, Acclino Disconzi et Armindo B. Jacobsen, tous de la SOPAMA de Porto Alegre virent à 20° d'élévation un grand objet lumineux de 3 fois la grandeur apparente de la lune. Il était ovale, sa partie supérieure rouge, la partie inférieure ayant toutes les couleurs de l'arc en ciel. Après 30 secondes d'immobilité l'objet prit la direction de l'ouest en mouvements spiralés et s'estompa après 5 minutes à l'horizon. Cinq autres minutes s'écoulaient quand un objet identique se pointa à l'horizon et vint s'immobiliser à la verticale du premier lieu du phénomène. Ce second (ou le même) ovni se trouvait assez proche des témoins: une centaine de m. environ. Il resta stationnaire pendant une minute et repartit vers l'ouest. Cet Ovni là fut observé pendant 7 minutes. (Inforespace n° 35, p. 32)
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        1977, 23 janvier
        CHINE, une petite ville dans la prov. de Hubei
Dans la nuit, quelques amis et moi, roulions sur une route serpentant dans la montagne. Quand nous sommes arrivés face à l'hôpital de notre ville, nous vîmes les gens rassemblés devant l'entrée, qui criaient. (…) .. une femme nous dit de regarder le ciel au nord et nous y vîmes une grosse assiette ardente d'un diamètre apparent de plus de 40 cm. L'objet était à 200 m de nous, il semblait raser la crête de la montagne. Il volait lentement dans notre direction (…) Jetant une lumière jaune, il suivait une ligne spiroïdale sans aucun bruit. Il passa au-dessus de nous, suivi d'une traînée de près de 30 m de long. A ce moment là toute la vallée était brillamment illuminée et l'hôpital était plongé dans une lueur jaune, ce que personne n'avait jamais vu. Le plus étonnant, c'est que l'objet volant, ayant fait un virage, rebroussa chemin et repassa au-dessus de l'hôpital. Tout le monde eut très peur.(…) Nous nous sommes précipités à l'intérieur des bâtiments et nous n'avons osé en sortir qu'une fois la vallée retombée dans l'obscurité. (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres ». éd. Mercure de France, 1983, p.127, 128)
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        1977, 27 janvier
        USA, près de Louisville (Kentucky)
Lee P., 19 ans, en voiture à 01 h 05 roule vers son domicile de Prospect. Le sol est couvert de neige. Il vit tout à coup un objet rectangulaire de 12 m sur 3 m de couleur rouge survoler une rangée d'arbres distante de 100 m de lui, à une altitude de 40 m environ. L'objet est éblouissant. Le témoin observe en conduisant et voit soudain l'OVNI partir à toute allure vers le N.O. Il arrive chez lui: il a mis 45 minutes pour faire un trajet qui normalement dure 7 minutes. Les heures de départ et d'arrivée étant confirmées par sa fiancée et par sa mère. Sous hypnose, Lee expliquera qu'il a été emmené à bord de l'Ovni, dans une pièce ronde de 6 m de diamètre et mis en présence d'entités rectangulaires, ressemblant à des jerrycans, la plus petite ayant 2 m de hauteur, la plus grande 5 à 6 m. Des sortes de bras sortaient des "corps" rectangulaires qui brûlaient et piquaient tout en étant glacés, comme recouvert d'une peau rugueuse. (International Ufo Reporter vol. 2 n° 4 - 1977 p. 6, 7 rapporté par Inforespace, Belgique) Un jeune homme de 19 ans, revenant de chez sa fiancée et en route pour sa maison, roulant en Jeep, dit avoir rencontré à basse altitude, un objet lumineux de couleur rouge, planant dans le ciel à côté de la route. Son souvenir suivant est d'arriver chez lui, les yeux brûlants et piquants, et appelant sa mère. La mère confirme que son fils a souffert d'une inflammation des yeux et de la peau des deux jambes. Il y avait aussi des perturbations électromagnétiques au niveau de la Jeep. (enquête de Leonard H. Stringfield - The Mufon Ufo Journal, January 1977)
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        1977, janvier
        PEROU, province d'Huanaco
Un jeune étudiant qui était tombé dans un marais, fut aidé par 4 créatures écailleuses, hautes de 90 cm, ayant 3 doigts à chaque main. Ces petites créatures tendirent les branches vers l'étudiant, pour qu'il puisse se hisser hors du marécage. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 347)
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        1977, février
        URSS - ESPACE
LA STATION SPATIALE SALYOUT 4 EST VOLONTAIREMENT PRECIPITEE DANS L'ATMOSPHERE. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 217)
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        1977, 4 février
        GRANDE BRETAGNE, Broad Haven
14 élèves de l'école primaire de Broad Haven ont vu ce vendredi après-midi, atterrir un disque argenté dans un champ à 400 yards de l'école. Le directeur de l'école M. Ralph Llewhelin (appelé sous le pseudonyme de 'Richard' par le Daily Mirror) fut interrogé par la presse locale le lundi suivant. Il avait réuni les 14 écoliers, dans les conditions identiques à ceux d'un "examen écrit, leur enjoignant de dessiner ce qu'ils avaient vu. Les dessins étaient remarquablement identiques: un gros disque inversé avec une lumière rouge au sommet. Interrogé séparément, chaque garçon disait que la chose avait atterri pendant une minute ou deux. Lorsque M. Llewhelin voulut aller dans le champ, pour examiner d'éventuelles traces, il était impraticable à cause de la boue et il y renonça. (suite au 24 février 1977) (doc. personnelle de vog)
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        1977, 7 février
        ANGLETERRE, Winchester
(cfr novembre 1966) Mme Bowles encore accompagnée de Mr Pratt, est en voiture, quand ils entendent un sifflement aigu et qu'en même temps la voiture a des ratés de moteur. Mme Bowles se souvient : "Tout à coup nous étions tous deux dans cette machine. L'un des hommes de l'espace était celui qui nous avait examinés. Partout des lumières clignotaient et flashaient. L'homme nous dit que c'était son domaine, quoi que cela puisse signifier. Un de ses collègues sortit un papier où se trouvaient toutes sortes de lignes. Au centre il y avait un cercle entouré d'anneaux. Tous les hommes portaient aux pieds des bottillons dont la pointe était recourbée vers le haut. Ces bottes étaient lumineuses, comme l'étaient leurs combinaisons argentées. Ils portaient une ceinture et au milieu de celle-ci une pierre brillante, et l'homme le plus proche de moi pressait cette pierre ou la touchait. Ted pense que cela avait à voir avec l'échange de messages. Tout cela s'est arrêté assez soudainement. Nous nous sommes retrouvés assis dans la voiture, qui était arrêtée. C'était près d'une rivière, nous étions complètement perdus. Un grand faisceau de lumière éclaira la voiture, puis s'amenuisait en s'éloignant dans le ciel. (suite le 7 mars 1977) (Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 129)
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        1977, 24 février
        GRANDE-BRETAGNE, Broad Haven, St Ishmael
(cfr: 1977, 4 février) Mme Coombs, ayant 3 de ses 5 enfants dans la voiture, retournait à la maison vers 20 heures, quand un de ses fils aperçut une lumière dans le ciel qui semblait se diriger vers eux à grande vitesse. Comme les enfants se mirent à crier de peur, Mme Coombs mit les gaz car elle craignait que la «chose » avait l'intention de passer à travers le pare-brise. Mais l'ovni passa au-dessus du véhicule, effectua un virage en U et se mit à accompagner la voiture, tandis que Mme Coombs atteignit 80 mph, et soutenait ce train d'enfer pendant 10 minutes. L'objet n'était pas plus gros qu'un ballon de football, luisait d'une lueur jaune et projetait un faisceau blanc vertical. Finalement l'auto arrivait près de la maison, mais le moteur cala. Devenue hystérique Mme Coombs sortit les enfants assis à l'arrière et avec eux courut jusqu'à la maison. Comme elle racontait l'événement à son époux, l'aîné des enfants vit l'ovni disparaître. (Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p 141, 142) (suite au 24 avril 1977)
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        1977, 7 mars
        ANGLETERRE, Winchester
(cfr: 7 février 1977) Mme Bowles se trouvait cette fois en voiture avec une amie Ann Strickland, très dubitative à propos des dires de Joyce Bowles au sujet des hommes de l'espace. C'était la nuit noire, elles roulaient sur une route déserte, le moteur de la voiture perdit de la puissance et s'arrêta. "Nous sommes sorties toutes les deux, et alors nous avons vu cette forme ovale, lumineuse, faisant entendre un léger bourdonnement. " dit Mme Bowles. "Un homme est sorti et est venu vers moi, les mains tendues. Il m'a pris la main. Il regardait Ann de haut en bas: elle était terrifiée. Moi aussi, mais je ne le montrais pas. L'homme a commencé à parler dans une langue étrangère , puis il a changé en parlant un peu l'anglais. J'ai répondu "oui" mais je ne suis pas sûre que c'était la bonne réponse, car je ne l'avais pas compris. Puis il m'a dit quelque chose que j'ai très bien compris, mais je ne puis le dire à personne, je n'oserais pas. Il avait l'air d'un homme de l'espace comme ceux que j'avais déjà vus, mais il avait les cheveux plus longs, ils lui tombaient sur les épaules comme les cheveux d'une femme. Je vis comme des boucles au bas de ses jambes, et il portait une sorte de guêtres. Son toucher était chaud comme celui d'un être humain. Dès qu'il m'avait dit ce qu'il avait à me dire, il s'est retourné et est parti vers la Chose. Nous l'avons vu monter en l'air et partir dans un bourdonnement aigu. Ann et moi étions en route pour visiter des amis, mais nous sommes retournés directement à Winchester, chez nous. Mme Strickland, 65 ans, dit: "Je n'ai pas entendu ce que l'homme a dit à Joyce et elle refuse de m'en parler pour une promesse qu'elle lui aurait faite. J'ai eu comme un trou noir : trop surprise et choquée de le voir là , et effrayée aussi. Cela ne sont plus des choses pour mon âge." Après cette rencontre Joyce Bowles eut des ennuis de santé: infection des voies respiratoires, et les mains tellement gonflées qu'elle ne put plus enlever sa bague. (suite en juin 1977) (Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 130)
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        1977, avril
        Espagne, Séville
Antonio Delgado, propriétaire du bar « El Paseillo » sur l'avenue Sanchez Arjona n° 37 à Séville, âgé d'une trentaine d'années vient de révéler qu'il est affligé d'une extraordinaire anomalie : il a 4 phalanges au médian des mains au lieu de trois. Il assure que les 4 phalanges sont une caractéristique – pour toutes les personnes qui montrent cette particularité – de son origine extraterrestre. Un autre est p.ex. Marcos Pinel de Séville qui inventa le système de l'énergie magnétique ce qui lui a valu 320 millions de pesetas déboursés par les Suisses pour le brevet d'exploitation. Il est donc d'origine extraterrestre, mais il est aussi humain, avec cette particularité qu'il peut toujours compter sur l'aide « des autres » pour guérir des personnes, pour prédire les numéros gagnants de la loterie, etc. A l'âge de 13 ans, grâce à ses parents extraterrestres, il put faire un voyage aux Etats Unis où il séjourna à La Louisiane et où des extraterrestres de haute stature, aux cheveux roux, au visages d'enfants, lui ont enseigné un tas de secrets. Quand il revint à la maison, une semaine plus tard, il eut la raclée de sa vie de son père biologique. (article d'Ignacio Darnaude Rojas-Marcos du 14 avril 1982, et article dans ABC – Espagne « En pocas palavras » du mardi 21.6.1982 page 31, article de Benigno Gonzalez)
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        1977, 22 avril
        GRANDE-BRETAGNE, Broad Haven (Pays de Galles)
(cfr: 19 avril 1977) Pauline Coombes était dans son lit en train d'essayer de dormir lorsqu'elle aperçut une lueur étrange qui vint s'arrêter au-dessus d'elle. Elle se sentit alors aspirée par une force irrésistible et perdit connaissance. Lorsqu'elle revint à elle, quelques heures plus tard, Pauline se souvint d'avoir été enlevée dans une soucoupe volante et de s'être retrouvée dans une pièce bizarre, au plafond en forme de dôme, avec deux êtres étranges qui se penchaient sur elle. La suite de ses souvenirs est confus. (suite au 24 avril 1977) (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du cosmos" - Laffont 1980, p. 185, 186)
(note de vog : dans l'histoire des Coombs, Chatelain est le seul à mentionner cet incident…)
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        1977, 24 avril
        GRANDE-BRETAGNE, Milford (ou Broad) Haven (Pays de Galles)
(cfr 24 février 1977) Pauline Coombs et Billy, son mari, regardaient la télévision. Vers minuit, (vers une heure du matin) alors qu'ils s'apprêtaient à fermer le poste, Billy vit par la fenêtre (Pauline Coombs regardait soudainement vers la fenêtre) que la lampe de la cour ne fonctionnait plus et que la ferme voisine était plongée dans le noir, ce qui était inhabituel.( on ne mentionne pas ces faits dans le rapport anglais) A une centaine de mètres (dans l'encadrement de la fenêtre se tenait un être monstrueux haut de plus de 2 mètres) de la maison apparut une étrange forme brillante: impossible de discerner ce que cela pouvait être, et la jeune femme fut effrayée. Le couple vit ensuite nettement un grand personnage dans une combinaison d'argent qui s'approchait de la baie vitrée comme s'il voulait observer ce qui se passait dans la maison. Il portait un casque avec des rebords qui lui tombaient sur les épaules. (Il portait une sorte de casque à visière lumineuse, un tuyau sortait de sa bouche et allait vers l'arrière de la tête) Ses mains étaient gantées, ses pieds chaussés de lourdes bottes, son visage caché derrière une vitre opaque. Il n'insista pas, fit volte-face et disparut dans la nuit.(Quand la créature, aux vêtements légèrement lumineux, toucha la vitre, elle se mit à vibrer à grand bruit) Le géant avait la démarche très lente. Le chien, pendant tout ce temps, était tapi dans le coin le plus éloigné de la maison en grognant sourdement. (de cette visite les époux Coombs gardaient deux souvenirs palpables : le rosier près de la maison complètement piétiné, et une télévision complètement brûlée. Six mois plus tard ils durent faire euthanasier leur chien qui ne s'était jamais remis de sa peur. Ils appelaient la police sur le champ. ) (Jacques DEGAS - Nostra - 28.4.1982) (pour les précisions soulignées : Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p 140, 141) Ils aperçurent à l'extérieur un être gigantesque qui devait avoir près de 3 m de haut, car sa tête qu'on ne voyait pas était cachée par le haut de la fenêtre qui était pourtant à 2,50m du sol. Cet inconnu frappait au carreau et les deux époux étaient terrifiés, ainsi que leur chien Blackie qui était aller se cacher dans un coin. Billy appela la police, mais quand deux policiers arrivèrent le géant avait disparu. Le lendemain ils découvrirent des empreintes de pieds gigantesques de 60 cm de long qui les conduisirent à un endroit où l'herbe était aplatie et à moitié brûlée, formant un cercle presque parfait. (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du cosmos" - Laffont 1980, p. 185 - il donne la date du 21 avril, mais en réalité ce fut le 24 avril)
(note de vog : Chatelain brode à son aise sur l'histoire…)
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        1977, 25 avril
        CHILI, Putre-Arica, Pampa Luscoma.
La patrouille de 6 hommes et d'un caporal faisaient des travaux de routine lorsqu'à 04 h 00 une lumière intense apparut à courte distance attirant l'attention d'une sentinelle. La caporal Armando Valdès s'éloigna alors en direction de cette lumière, quand une autre (ou la même) se trouva brusquement bien plus près. S'avançant de quelques pas, Valdès disparut progressivement quelques minutes avant que l'OVNI ne disparaisse aussi. Un quart d'heure après Valdès réapparut à nouveau progressivement et s'exclama "Muchachos" avant de s'écrouler sans connaissance. En ce quart d'heure sa barbe avait poussé comme elle l'aurait fait en plusieurs jours, sa montre avançait de quinze minutes et indiquait le 30 avril! (J.C. BOURRET: "La science face aux E.T." - France Empire 1977, p. 228 et suivantes et "OVNI, l'armée parle, France Empire 1979, p. 53 à 60)
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        1977, avril
        MEXIQUE, Topilejo
Sur la route nationale fédérale de Cuernavaca à Mexico, Victor Gastorena Guerrero et Pablo Mujica Garcia entre autres témoins, voyaient tout à coup un énorme objet bleu dans le ciel. Ils le perdirent un moment de vue mais s'arrêtèrent bientôt pour pouvoir suivre la trajectoire de l'engin. Ils virent sortir de l'ovni un rayon lumineux de forme cylindrique d'un bleu plus foncé que l'engin. En un instant ce rayon toucha la terre englobant la végétation et une aire de repos d'une vingtaine de mètres carrés. La luminosité était si forte qu'il semblait que cette zone avait disparu. L'objet prit de la hauteur et s'éloigna à grande vitesse vers le nord-ouest. Quelques instants plus tard les témoins descendirent des véhicules pour voir ce qui avait succédé à cet étrange phénomène. A leur plus grande stupeur toute la partie de cet environnement, y compris la végétation, était complètement congelé. Les végétaux, feuilles, fleurs, herbes étaient recouvertes de givre comme si chaque élément était enveloppé d'un verre souple. C'était si esthétiquement parfait que c'était un enchantement visuel. Des témoins ont goûté de cette glace sans y déceler de différence avec la glace d'un congélateur. La zone dégageait un froid intense qui s'étendait aux témoins. (reportage de Fernando J. Tellez - document "OVNI" de l'UEC c/o Claude Chapeau)
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        1977, 30 avril
        USA, Healdsburg (Californie du Nord)
(...) en tout il y eut 9 témoins répartis dans une région d'environ 15 km. (...) Alors qu'elle revenait, vers 20 h 30, du match (ou son fils, 19 ans, avait joué) accompagné de ce garçon et des autres enfants (18, 10 et 3 ans) la mère vit de grosses lumières circulaires au-dessus des collines côtières vers le sud-ouest. Alors qu'elles pulsaient et clignotaient, elles s'élevèrent l'une après l'autre puis semblèrent se rapprocher du sol entre les observateurs et l'horizon. (le garçon de 10 ans dessina la configuration: un grand objet de couleur crème entouré de 6 objets plus petits vert, rouge et bleu).(...) Quand ils atteignirent l'intersection avec une route qu'on appelle Old Redwood Highway, un des objets sembla se détacher du groupe et tout d'un coup il piqua vers la chaussée et s'approcha à moins de 12 mètres. (...) la route fut inondée de lumière, l'intensité en était pénible. La mère dessina l'objet dont elle estima le diamètre à 15 mètres. Il avait plusieurs hublots et deux rayons de lumière en émanaient.(...) La fille aînée avait elle aussi dessiné un objet ovale avec sa lueur rouge. Elle ajouta un détail important: un visage les observant derrière les fenêtres. La silhouette ressemblait à une tête de grenouille. (...) La mère, la fille de 18 ans et le garçon de 10 ans furent pris de nausées et le garçon vomit. Le fils de 19 ans et la petite fille de 3 ans n'eurent pas de troubles physiologiques. (...) (Jacques VALLEE: "Confrontations" - Laffont 1991, p. 91 à 101)
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        1977, mai
        URSS
(cfr: juillet 1976)
COSMOS 909, LANCE EN MAI 1977, EST UNE NOUVELLE CIBLE, QUI AURA, COMME LES COSMOS 248, 373, et 803, DEUX POURSUIVANTS. QUATRE JOURS PLUS TARD, LE PREMIER, COSMOS 910, EFFECTUE UNE INTERCEPTION RAPIDE AVANT DE REGAGNER LA TERRE; LE MÊME PROGRAMME EST EXECUTE APRES TROIS SEMAINES DE PAUSE PAR COSMOS 918. DANS LES DEUX CAS LA CIBLE EST REJOINTE SUR MOINS D'UNE ORBITE ET LA RECUPERATION DU CHASSEUR EST REALISEE AUSSITÔT, SANS QU'IL Y AIT EU EXPLOSION. DEUX AUTRES MISSIONS, EN OCTOBRE ET EN DECEMBRE COMPLETERONT CETTE SECONDE PERIODE D'ESSAIS. (suite octobre 1977) ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 153)
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        1977, 3 mai
        GRANDE-BRETAGNE, Hainault Forest (Essex)
Dans le bois de Hainault des témoins, dont deux policiers font des observations à des moments différents. L'un des croquis réalisés montre une cabine d'hélicoptère sans pales à sommet pointu, avec croisillons de couleur rose-rouge. (Flying Saucer Review vol. 23 n° 2 p. 8-10) Deux policiers se rendent dans la forêt de Hainault tôt le matin, après un appel, et ils virent un objet en forme de tente, avec des lueurs rouges, entre les arbres. Ils l'ont regarder « pulser » pendant trois minutes, puis la chose s'est dissoute dans l'obscurité. (Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p.123)
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        1977, 18 mai
        USA, Peble County SE d'Eaton (Ohio)
Deux garçons de 13 ans, dont les parents désirent l'anonymat. Enquêteurs: Ron Schaffner et Betty Parks . "Nous promenions la chienne, et elle s'excita pour quelque chose. Elle s'encourut et je la suivis. Quand je l'eus rattrapée, nous sentions cette odeur pestilentielle, comme des œufs pourris. Tandis que mon amis tournait en rond, nous voyions tout à coup cette créature, haute de 9 pieds et pesant au moins 500 livres. Il avait des cheveux bruns, sales et des yeux qui semblaient être blancs. Ses bras étaient si longs, qu'ils touchaient presque le sol. La créature nous poursuivait du bas du pont, à travers le champ de soja, jusque près de notre maison. Elle était debout derrière nous et fit de très grandes enjambées. Quand nous sommes arrivés sur la grand-route, nous ne l'avions plus vu." Arrivés chez eux, ayant raconté l'événement à leurs parents, la police fut appelée immédiatement. Les policiers raccompagnaient les garçons sur le site de l'observation, mais les jeunes témoins ne voulaient pas sortir de la voiture. Durant toute une semaine, l'un des garçons refusait aussi que l'on ouvre la fenêtre de sa chambre. (Patricia Mason, 1996, NACOMM)
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        1977, juin
        ANGLETERRE, Westminster
(cfr : 7 mars 1977) En plein jour, la voiture de Joyce Bowles et de son passager Ted Pratt, fut prise par une force inconnue et déposée sur une route loin de la Petersfield Road, où elle roulait. Deux hommes sortirent d'une machine planant à moins de 25 mètres de là et se dirigeaient vers eux. Ils étaient différents des hommes rencontrés précédemment par Ted Pratt. "Ils avaient les cheveux couleur de sable, et ils portaient des combinaisons solides et métalliques" dit-il. "Ils ont dit d'être là pour aider l'humanité, quelque chose au sujet de la guerre. Ils disaient être effrayés par notre manie de nous détruire nous même et de polluer l'atmosphère. Ils ont tendu la main et ont pris les nôtres. J'étais très effrayé. Ils faisaient des signes avec les mains, mais je ne comprenais pas. Ils nous dirent au revoir et retournèrent vers leur engin. Il décolla et disparut dans le ciel. Nous étions là complètement choqués. Je suppose que nous les avions rencontrés pendant dix minutes. Mme Bowles ajoute: "Ils ont pressé un petit disque argenté dans ma main droite. Plus tard j'avais là une marque spéciale toute blanche. Ils ont dit qu'ils reviendront, mais je ne le veux plus. Je me sens comme une personne marquée. Ce n'est d'ailleurs pas bon d'en parler avec les gens, personne ne me croit". (Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 130)
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        1977, 6 juin
        FRANCE, Dolcourt (Meurthe et Moselle)
Un paysan se repose au pied d'un arbre lorsqu'il entend le beuglement d'un troupeau de vaches. Voulant se lever, il est plaqué au sol par le souffle puissant d'un engin qui vient se poser dans la luzerne. Un couple entièrement nu sort de l'appareil pour y remonter aussitôt. Le témoin ira déposer à la gendarmerie (Sud Ouest du 4.7.77; France-Soir du 5.7.77)
EN REALITE: Un hélicoptère de l'Institut Géographique National s'est posé dans un champ où se faisait bronzer une jeune fille. Le père de cette dernière qui travaillait sur son tracteur non loin de là prit peur et se précipita vers l'intrus. Il déposa une plainte à la gendarmerie pour le simple fait que l'appareil avait atterri sur ses terres. (Erich ZURCHER : "Les apparitions d'Humanoïdes" - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 187, 188)
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        1977, 22 juin
        AUSTRALIE, Bulloo River, Queensland
Un prospecteur aurait vu à 23 heures, sortir de trois cylindres élancés descendus du ciel, plusieurs entités. Les êtres, des deux sexes, jouaient à la balle, avec des boules lumineuses. Ils se matérialisaient et se dématérialisaient tour à tour durant les deux journées de leur séjour sur terre. Ils auraient expliqué au prospecteurs qu'ils venaient de "Begua" (
note de vog : Vega, peut-être?) Ils avaient une apparence tout à fait humaine, mais leur peau était légèrement bleuâtre. ("Psychic Australian" 3/2/4. - Keith Baskerfield)
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        1977, 1 juillet
        ITALIE, base de l'OTAN à Aviano (Ponderone)
La base l'OTAN, Aviano était fermée pour une parade en préparation. A 3 heures du matin le garde USAF observe un étrange objet planant au-dessus de la zone connue sous le nom de 'Victor Alert", où, dans un grand hangar, se trouvaient deux avions, jets de combat, encore secrets. L'objet apparut comme une toupie de 45 m en diamètre et en rotation très bas au-dessus de ce hangar. La partie supérieure en coupole portait des lumières vertes et blanches éclairant la surface de l'objet. Le garde sonna l'alerte et une équipe militaire arriva sur les lieux. Ils encerclaient la zone et lançaient un appel au radar, afin de voir si l'objet pouvait être ciblé. Mais cependant, pour une raison mystérieuse, il n'y eut plus d'électricité sur la base et les radars ne purent entrer en action. Alors que l'incident était rapporté plus tard aux quartier général de l'Otan à Bruxelles, les chercheurs ufologiques furent éconduits et on leur disait qu'il s'agissait en fait de la méprise dans l'observation de la Lune brillant au-dessus des nuages bas! (CISU)
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        1977, juillet
        CHINE, Caoyu (Nanxian)
… notre travail terminé, mes camarades et moi étions sur le chemin du restaurant où nous allions souper, lorsque, ayant levé la tête et contemplé le ciel, j'ai vu deux assiettes lumineuses collées ensemble, dans le ciel noir. Les regardant plus attentivement, j'ai trouvé qu'elles ressemblaient fort à deux crêpes avec en commun un point de contact. Elles flottaient comme deux feuilles mortes au-dessus de la vallée. Elles montaient, descendaient, avançaient et s'arrêtaient, tout en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre. Enfin elles se mirent à monter en suivant une ligne spiroïdale et disparurent dans l'obscurité de la nuit. . (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres ». éd. Mercure de France, 1983, p.129)
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        1977, juillet
        CHINE, Caoyu (Nanxian)
A peine arrivé sur le palier du deuxième étage du bâtiment abritant nos bureaux, nous avons vu à travers la fenêtre donnant sur l'écluse, un objet brillant au-dessus de la rivière large d'un kilomètre. Cet objet était aussi grand que les plus grandes cuvettes existantes. Il tournait lentement, en silence, et il était entouré d'un anneau grisâtre semblable à celui de Saturne. L'objet se trouvait à 40° au-dessus de la surface de l'eau et suivait le cours de la rivière. (…) Quand il arriva sous l'immeuble qui domine la rivière, près des bateaux, nous l'avons bien distingué. C'était une sphère un peu allongée et son anneau était composé de dix petites boules lumineuses de dimension identique, disposées à intervalles égaux. Pour être plus exact, ces boules n'étaient que des soucoupes minces, lumineuses. (…) Peu après la formation se mettait à tourner plus vite et plus haut dans le ciel, et brusquement tout disparut. . (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres ». éd. Mercure de France, 1983, p. 129, 130)
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        1977, 12 juillet
        PORTO RICO, Quebradillas
Une petite entité casquée, habillée de vert, possédant une queue. Dans son dos elle portait une boîte munie de lumières rouges et bleues. Cette boîte se souleva et l'entité s'envola. Les témoins observèrent les lumières de la boîte au-dessus des arbres. Là, elles furent rejointes par d'autres lumières identiques, comme si une autre entité l'attendait. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 348) Un père et sa fille étaient chez eux quand ils virent passer sous le fil de clôture, une petit entité qui s'approchait de la maison. Le père pensait que c'était un enfant et demanda à la fille d'allumer les lumières extérieures. Ceci avait pour conséquence d'alerter l'entité qui tourna les talons. Elle mesurait environ un mètre à 1 m 10 de haut, était habillée de vert, pieds y compris, et un casque ayant une partie transparente devant le visage Une antenne était fixée sur lui, sur le dos une boîte arrimée à sa ceinture, et l'entité avait une queue. L'étranger passa de nouveau sous la clôture, pressait quelque chose sur la ceinture, et s'envola à la manière de Superman, vers des lumières clignotantes plus loin. (Roger BOAR et Nigel BLUNDELL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 39)
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        1977, 25 juillet
        USA, Lindley (New York)
Vers 23 heures, Donald entendit un bruit provenant de la porte et comme il se dirigeait vers celle-ci, il vit à 1,50m de là un humanoïde d'à peu près 1,20 m de haut. Il était habillé de clair pour le haut et de foncé pour le bas. Donald prit une lampe de poche et le revolver et sortit pour éclairer la créature. Près d'un arbre, non loin de là, sa lampe éclaira un Ovni qui envoya promptement un rayon lumineux sur Donald et son épouse, qui rentrèrent précipitamment chez eux.? Il avait un mal de tête terrible, ses oreilles bourdonnaient et il se sentit engourdi. Ce témoin dit avoir vu 6 ou 7 Ovni et un tas d'humanoïdes: il les entendait même marcher sur le toit de sa maison dont un volet d'aération fut même soulevé. Entre eux ces êtres baragouinaient une langue étrange. Tout ce manège dura près de six heures et ne fut fini qu'à 5 heures du matin. (International Ufo Reporter vol. 2 n° 9 - 1977)
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        1977, fin juillet, début août
        ITALIE, Venise
Des enfants âgés de 8 à 10 ans jouant au Lido, voient passer à 30 mètres du sol une énorme boule de feu précédée d'un brouillard. En quelques secondes elle disparut en versant au sol des fragments incandescents ressemblant à des braises. (CISU, Notizie Ufo n° 48)
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        1977, août
        URSS- ESPACE
LA STATION SPATIALE SALYOUT 5 EST A SON TOUR PRECIPITE VOLONTAIREMENT DANS L'ATMOSPHERE POUR DESINTEGRATION. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 217)
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        1977, 12 août
        USA, désert de Mojave, Californie
LE PREMIER MODELE (DE NAVETTE SPATIALE), BAPTISE "ENTERPRISE" EST SORTI D'USINE EN SEPTEMBRE 1976. POUR TESTER SES CAPACITES AERONAUTIQUES, UN PROGRAMME D'ESSAIS PREVOYAIT UNE SERIE DE VOLS PLANES AU-DESSUS DU DESERT DE MOJAVE. LE PREMIER EUT LIEU LE 12 AOUT 1977. (...) DEUX CENT MILLE PERSONNES ONT CONVERGE VERS LE LIEU. (...) LE SPECTACLE DEBUTE SIMPLEMENT AVEC LE DECOLLAGE D'UN BOEING 747 JUMBO JET, PORTANT SUR SON DOS UN BIEN ETRANGE FARDEAU, QUI A PREMIERE VUE, RESSEMBLE A UN AVION TRAPU DE LA TAILLE D'UN DC 9 QUI SERAIT DOTE D'UNE VOILURE DELTA. LE FARDEAU C'EST TOUT SIMPLEMENT LA NAVETTE SPATIALE. (...) PARVENU JUSQU'A 8000M DE HAUTEUR, L'AVION PORTEUR AMORCE UN LARGE VIRAGE, DESCEND A 6700 METRES ET LARGUE SON FARDEAU DE 68 TONNES. C'EST ALORS LE DEBUT D'UN VOL PLANE DE CINQ MINUTES ET DEMIE VERS LA PISTE N° 15 DE LA BASE D'EDWARDS. (...) LA NAVETTE S'IMMOBILISE SUR MOINS DE 3 KM. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 168)
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        1977, 30 août
        ITALIE, entre Sturgo et Frigento
Rocco Cirullo et Michele Giovanniello, tous deux étudiants et âgés de 24 ans, roulent vers 00 h 30 sur la route reliant Sturgo à Frigento. Dans les buissons ils aperçurent des lumières rouges et vertes et intrigués, s'arrêtaient et sortaient de voiture. Un son modulé et continu fut perceptible. Ils virent alors une silhouette aux reflets blancs argentés, articulée comme un humanoïde d'abord immobile, faire deux pas en leur direction. Epouvantés les témoins remontèrent en voiture et partirent vers le village. Ils mirent d'autres personnes au courant et revinrent sur les lieux vers 01 h 00. Les lueurs, le son étrange et la silhouette étaient au rendez-vous. L'impression était tellement forte que les témoins effrayés retournèrent se cacher dans la voiture. La curiosité l'emporte et ils retournent sur les lieux. L'humanoïde fait deux pas et c'est à nouveau la fuite éperdue. Dès que les témoins s'enfuient, l'être recule. Ce va et vient se reproduit deux ou trois fois en 15 minutes. Les 5 témoins retournent au village chercher une torche électrique. Ils sont à nouveau sur place entre 01 h 30 et 01 h 40 où tout continue toujours. A. Capobianco se dirige alors lentement vers les broussailles jusqu'à une vingtaine de mètres de la créature et lui envoie un faisceau de lumière de la lampe torche. L'être parut désorienté et deux lumières oranges (à la place des yeux) se mirent à clignoter. Cette réaction épouvanta à nouveau les témoins qui se précipitèrent en voiture dans l'intention d'avertir les carabinieri. En cours de route, craignant le ridicule puisqu'ils n'apportaient aucune preuve de leur aventure, ils décident une dernière fois de retourner sur les lieux. Au sommet d'une colline ils virent comme un cylindre lumineux divisé en bandes verticales, le dessus ressemblant à une coupole. A 02 h 00 ils sont à nouveau sur place: rien n'a changé. A nouveau un faisceau de lampe de poche fut dirigé sur la créature, dont les yeux se mirent à clignoter. Il sembla inviter les témoins à s'approcher et indiqua d'une main le ciel. Aussitôt après du sommet de sa tête sortit un intense rayon de lumière blanche qui illumina les alentours et aveugla les témoins. Cet être haut d'environ 2m, ne tourna jamais le dos aux témoins et ne fléchit pas les genoux. Vers 03 h 15 les témoins rentraient au village pour chercher d'autres témoins, mais en vain. Revenus ensuite sur les lieux à 03 h 30, il n'y eut plus rien à voir, l'obscurité régnait sur la colline. (Inforespace n° 48 de 1979, p. 16 à 19)
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        1977, septembre
        URSS
LA STATION SALYOUT 6 PRIT LA RELEVE EN SEPTEMBRE 1977 ET QUI TOURNAIT ENCORE LORS DE LA MISE EN PLACE DE SALYOUT 7 PRESQUE CINQ ANS PLUS TARD. OCCUPEE REGULIEREMENT JUSQU'EN MAI 1981, ELLE NE RECUT PAS MOINS DE 32 VAISSEAUX SPATIAUX, HABITES ET INHABITES, DONT 18 VAISSEAUX SOYOUZ AVEC EQUIPAGES, DEUX SOYOUZ INHABITES ET 12 VAISSEAUX CARGO DE RAVITAILLEMENT PROGRESS. LES CARGOS PROGRESS RESTAIENT EN PRINCIPE FIXES AU SALIOUT DURANT TROIS SEMAINES, APRES QUOI ILS SE DETACHAIENT POUR RENTRER ET BRULER DANS L'ATMOSPHERE, CE QUI LIBERAIT LA PIECE D'AMARRAGE POUR UN AUTRE VAISSEAU. C'EST AU COURS DE LA QUATRIEME OCCUPATION QUE LEONID POPOV ET VALERI RIOUMINE ALLAIENT BATTRE TOUS LES RECORDS D'UN VOL SPATIAL, AVEC 185 JOURS D'AVRIL A OCTOBRE 1980. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p 218, 219)
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        1977, 15 septembre
        BRESIL, Paciença
A 02 h 00 Antonio Bogato la Rubia se lève pour se rendre à son travail (il est chauffeur de car). En chemin il voit dans un champ un objet oblong, plus grand qu'un bus et soudainement une lumière bleue illumine les lieux. Trois silhouettes surgissent et s'emparent de lui l'entraînant à l'intérieur de l'objet ovoïde, dans une pièce circulaire: on lui fait voir des images dont il est le principal personnage, on lui retire un peu de sang. Sans transition La Rubia se retrouve dans une rue déserte de la ville, voit le cigare métallique s'élever dans le ciel. Il regarde sa montre: elle est arrêtée à 02 h 20. Il demande l'heure à un passant: en réalité il est 02 h 55. Il a mal partout et la vue brouillée mais se rend à son travail. Deux jours plus tard il tombe malade avec une forte fièvre et une sensation de brûlure sur tout le corps. Il est gonflé, pris de vomissements, fait une éruption cutanée. (Bertrand MEHEUST: En soucoupes volantes - Imago 1992, p. 33, 34) Les êtres, de petite taille, sont comme recouverts d'écailles métalliques, leurs bras sont dépourvus de mains et se terminent par une sorte de doigt. Le corps se terminait par une sorte de jambe unique, et Antonio eut l'impression qu'ils étaient assis sur une sorte de tabouret. L'extrémité de cette jambe unique était un pied qui ressemblait à un couvercle. Ils se déplaçaient en glissant. (...) tout autour de lui se trouvaient plusieurs êtres, tous rigoureusement identiques, alignés sur deux rangs de chaque côté. Dans la salle il n'y avait aucun ornement, rien, ni meubles, ni machines. Au bout d'un moment il tenta de se dégager et se mit à crier "Qui êtes vous? Que voulez-vous?" A cet instant précis les êtres tombèrent les uns contre les autres comme des soldats de plomb, sans faire de bruit. Une lumière bleue s'alluma au plafond et les êtres furent aussitôt debout, mais Antonio ne réussit plus à crier. Appuyant tour à tour sur une touche d'un "piano" les êtres lui firent voir des images, dans l'ordre suivant: Antonio nu couché dans un lit invisible pour un examen médical, nu debout, debout habillé transportant un sac et battant nerveusement un bras, un cheval tirant une charrette et un charretier en haillons les pieds nus, une boule orangée de la grosseur d'un ballon se trouvant près de lui, un chien aboyant furieusement voulant attraper un des êtres qui pointe une seringue vers le chien qui devient bleu et est réduit en bouillie, une usine de soucoupes volantes avec des milliers d'être affairés, un petit train sans fenêtres dans un tunnel, une large avenue qui ressemble à une avenue connue d'Antonio. Après cette dernière image il est expulsé du disque, tombant dans le milieu de cette rue à 4 km de sa maison, et se trouve debout à côté du chemin de fer ne sachant pas très bien ce qu'il y faisait. (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 117 à 124)
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        1977, 16 septembre
        URSS, Tiouratam
L'URSS LANCE UN NOUVEAU SATELLITE DE LA SERIE COSMOS, LE 952e DU NOM. IL PESE UN PEU PLUS DE 2 TONNES ET SE TROUVE PLACE SUR UNE ORBITE A ENVIRON 260 KM D'ALTITUDE SOUS UNE INCLINAISON DE 65° C'EST UN SATELLITE ESPION, LE QUINZIEME DE CE TYPE DEPUIS DECEMBRE 1967. (...) COMME A L'HABITUDE, D'AILLEURS, UN MOTEUR FUSEE EST MIS A FEU QUELQUES SEMAINES PLUS TARD, AFIN D'EXPEDIER LE SATELLITE SUR UNE ORBITE EVOLUANT ENTRE 900 ET 1000 KM D'ALTITUDE, SA MISSION PRINCIPALE EST TERMINEE. IL FAUT SAVOIR QUE LES RADARS SONT TRES GOURMANDS D'ENERGIE, SI BIEN QUE POUR L'ALIMENTATION ELECTRIQUE DE CE TYPE DE SATELLITES, LES SOVIETIQUES ONT INSTALLE A BORD UNE MINI CENTRALE NUCLEAIRE, ALIMENTEE EN URANIUM 235. (...) L'EXPEDITION SUR UNE ORBITE A PLUS HAUTE ALTITUDE EST DECIDEE POUR QU'ILS NE RETOMBENT PAS SUR TERRE AU BOUT DE QUELQUES MOIS AVEC LEUR DANGEREUSE CHARGE RADIOACTIVE. CES SATELLITES SONT LANCES PAR PAIRE, A QUELQUES JOURS D'INTERVALLE. (suite 18 septembre 1977, mais surtout voir 24 janvier 1978) ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 99, 100)
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        1977, 18 septembre
        URSS, PLESETSK
LES SPECIALISTES OCCIDENTAUX PEUVENT CONSTATER QUE LA PROCEDURE EST RESPECTEE, PUISQUE LE 18 SEPTEMBRE, COSMOS 954, FRERE JUMEAU DE COSMOS 952, S'ENVOLE DE LA BASE DE PLESETSK POUR GAGNER UNE ORBITE A 257 KM. ENTRETEMPS A ETE LANCE UN COSMOS 953, SATELLITE ESPION DE RECONNAISSANCE PHOTOGRAPHIQUE, DE LA BASE DE PLESETSK. LE 1 DECEMBRE 1977 COSMOS 954 SERA TRANSFERE SUR L'ORBITE HAUTE QUI DOIT LUI ASSURER UNE DUREE DE VIE DE CINQ A SIX SIECLES, CE QU'IL FAUT POUR QUE LA RADIOACTIVITE DES 49 KILOS D'URANIUM EMBARQUES SOIT TOMBEE AU-DESSOUS DU MILLIONIEME DE SA VALEUR INITIALE. UNE ENTREE ATMOSPHERIQUE POURRA ALORS INTERVENIR SANS LE MOINDRE DANGER. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 101)
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        1977, 20 septembre
        URSS,
LANCEMENT DU SATELLITE COSMOS 955.
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        1977, 20 septembre
        URSS, Petrozavodsk
Aux environs de 4 heures du matin une énorme étoile s'est mise à briller, envoyant des faisceaux vers la terre. Etendue telle une méduse au-dessus de Petrozavodsk, elle s'est arrêtée couvrant la ville d'une multitude de faisceaux de lumière qui faisaient penser à la pluie. Peu de temps après la luminescence a disparu, la méduse s'est transformée en hémicycle clair et est partie en direction du lac Onéga. Dans la nappe de nuages gris s'est formé un trou semi-circulaire d'un rouge clair au centre et bleu aux rebords. Durée totale: de 10 à 12 minutes. (Boris CHOURINOV: "Les deux faces de l'ufologie en Russie" - mai 1994, p. 16) A 16 heures un gigantesque objet discoïdal apparut, aussi grand qu'un terrain de football. L'Ovni aurait braqué 5 faisceaux sur la ville, illuminant la cité pendant 12 minutes. Des pavés et des vitres auraient éclatés et auraient été calcinés. Youri Gromov rapporta en outre qu'un objet plus petit s'était détaché du premier et que l'un et l'autre s'étaient alors éloignés à travers les nuages. (Johannes von BUTLAR: "Ovni, nous ne sommes pas seuls" - Presses de la Cité 1979, p. 187-188)
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        1977, octobre
        URSS
(cfr: mai 1977)
EN OCTOBRE, AVEC COSMOS 959 COMME CIBLE ET COSMOS 961 COMME CHASSEUR, ON ASSISTE ENCORE A UNE INTERCEPTION RAPIDE SUIVIE D'UNE RECUPERATION. (suite décembre 1977) ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 153, 154)
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        1977, 18 octobre
        SUEDE, nord est de Angermanland.
Kurt Nilsson, 35 ans, sur les lieux pour obtenir de meilleures liaisons radio, déclare: "Alors que je me parquais derrière le pylône TV, la liaison avec mon collègue devint si mauvaise que nous avons coupé le contact. Il était 20 h 00. Brusquement je vis un objet de couleur bleu pâle contre une butte dans un creux: c'était un objet avec un dôme, d'environ 2 m de diamètre. Devant l'objet il y avait trois silhouettes en combinaison spatiale: ils étaient debout à ma gauche , à 100 m. Ils mesuraient environ 1 m et grisâtre, très visibles dans la clarté émise par l'objet. J'étais si surpris que j'allumais les phares pour mieux les voir, mais alors tout devint noir, je ne vis plus rien. Pendant une minute rien ne se passa, puis l'endroit s'éclaira comme avant et je pus voir comme avant. J'étais si effrayé que je démarrai pour m'en aller. Après 50 m la voiture s'arrêta et je vis sur la route les 3 personnages, ou 3 autres qui leur ressemblaient. Celui du milieu avait quelque chose en main qui ressemblait à une bêche, quand il tourna cet instrument vers moi les phares s'éteignirent et le moteur s'arrêta. Ce personnage portait la bêche a deux mains, bras croisés et mains posés sur le manche en "T". Ce fut à nouveau l'obscurité complète et je pensais "c'est la fin". Cependant je redémarrai et le moteur reprit, je fis marche arrière, attendit 2 minutes et allumai les phares: plus rien. Neuf ans auparavant, le 12 mars 1969 (voir cette date), une aventure similaire avait été vécue par Kjell Näslund, directeur de la station, quasiment au même endroit. (Skandinavsk UFO information n° 1/1978)
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        1977, 23 octobre
        CHINE (lieu non précisé)
… au crépuscule, le soleil venait de se coucher et le ciel à l'ouest était encore rouge. A 6 h 30, les combattants de notre unité (…) assis sur le terrain, attendaient le début de la projection d'un film. Soudain un camarde a levé son bras vers l'ouest et a crié « Qu'est-ce que c'est ? » A son cri tout le monde regarda dans le ciel et vit un objet brillant qui volait. Il était énorme, aussi grand qu'un ballon de basket-ball. Son mouvement était celui d'une vis d'Archimède. L'objet se déplaçait lentement, à une vitesse uniforme, tout en tournant dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. (…) ovale, surmonté d'un dôme ou de quelque chose y ressemblant. Sa couleur jaune était un peu rougeâtre, sa queue blanche, laiteuse était composée de petites étincelles. Au début, la queue enroulée autour de l'objet brillant était assez large, mais à mesure que l'objet tournait, elle devenait de plus en plus mince. Ce qui nous étonna le plus, c'est que l'objet et sa queue ont disparu tout d'un coup, en même temps. (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p. 132)
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        1977, décembre
        URSS
(cfr: octobre 1977)
EN DECEMBRE ON EN REVIENT AVEC COSMOS 970 A UNE INTERCEPTION PLUS LENTE DE LA CIBLE PORTANT LE NUMERO 967, AVEC , A NOUVEAU, EXPLOSION DU CHASSEUR EN 47 MORCEAUX. (cfr: 19 mai 1978) ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 154)
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        1977, 2 décembre
        NOUVELLE-ZELANDE, Wiamata Valley (près de Gisborne)
Un fermier vit un Ovni atterrir dans sa cour la nuit. Il était d'un bleu lumineux brillant et à l'intérieur de l'engin la lumière était rouge intense. Deux entités étaient occupées à kidnapper les chiens du fermier, qui fit feu sur ces créatures. Elles lâchèrent les chiens et s'enfuirent. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 345)
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        1978,
        USA
L'US NAVY AVAIT EGALEMENT BESOIN DE SATELLITES DE LIAISON. C'EST A CETTE FIN QUE FURENT MIS AU POINT, CONSTRUITS ET LANCES LES SATELLITES DE LA SERIE "FLTSATCOM" LANCES A PARTIR DE 1978. EN 1982 LE RESEAU COMPREND 5 SATELLITES - DONT UN EN RESERVE - ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 93)
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        1978, janvier
        CHINE
CHINE 8 SE PLACE SUR UNE ORBITE BASSE DE FAIBLE INCLINAISON. C'EST UN SATELLITE DE RECONNAISSANCE PHOTOGRAPHIQUE, MAIS IL N'EST PAS RECUPERE. SANS DOUTE A-T-IL TRANSMIS DES VUES TELEVISEES,COMME CHINE 3 ET CHINE 5. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 19)
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        1978, janvier
        USA, endroit non précisé
(cfr : 1961, 19 septembre) Betty Hill a échappé à un accident mortel, grâce à la présence d'un ovni dans le ciel. Elle allait traverser une ligne de chemin de fer, quand elle fut effrayée par une forme volante noire, où pulsait une lumière couleur rouge rubis. Cete chose volait rapidement vers elle, elle s'arrêta, fit marche arrière, et quelques secondes à peine plus tard un train express passait sur les voies où elle s'était engagée. (suite août 1980) (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p 61)
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        1978, 7 janvier
        FRANCE, Guebling (Moselle)
Un ouvrier de 30 ans circulait à 04 h 30 en cyclomoteur sur le chemin reliant Vergaville à Guebling. Il vit à une distance qu'il ne peut préciser, trois boules brillantes à ras du sol, plus gros que des phares de voiture. Une de ces boules s'est détachée du groupe et s'est approché du témoin comme une étoile filante, a éclairé comme un énorme projecteur d'une lumière blanche uniforme si fort qu'il ne distinguait presque plus la route de l'accotement. Il a eu peur et n'a pas regardé par où est partie cette boule. Il ne peut dire si l'engin fit un bruit quelconque, étant casqué. (J.C. BOURRET: "OVNI, l'armée parle" - France Empire 1979 - p. 219 à 219)
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        1978, 12 janvier
        AUSTRALIE, BAKERS CREEK FALLS, New South Wales.Gary P. avait roulé durant toutes les heures du petit matin, quand il retrouva ses esprits, vers 5 heures du matin, s'étonnant d'être garé sur le bas côté de la route. Il était incapable de se souvenir des dernier 160 km. Tandis qu'il reprit conscience, il vit une lumière brillante stationnaire à quelque distance. Il essaya de s'en rapprocher, mais ce fut en vain.
(note de vog: j'appelle cela avoir un coup de pompe...) (Keith Baskerfield - Australian Abduction Cases - 1989)
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        1978, 20 janvier
        BRESIL, Rondonopolis
Six jeunes garçons jouaient au football sur une petite place de la ville. Soudain un objet lumineux, ayant la forme de deux assiettes accolées l'une à l'autre, s'est posé près d'eux. Pris de panique, ils s'enfuirent, sauf deux d'entre eux, paralysés sur place. Des êtres descendirent de l'engin et les invitèrent à monter. L'un de ces deux enfants à été retrouvé à 500 km de là, deux heures après sa disparition, revêtu seulement d'un pantalon et transi de froid. L'autre garçon n'a jamais été retrouvé. Le rescapé, Manuel Roberto dit qu'ils furent conduits dans une salle où il n'y avait qu'une chaise ou un banc dont ils ne pouvaient plus se libérer une fois qu'ils y avaient pris place. L'une des créatures montra alors comment en passant la main le long d'un côté de cette chaise ils pouvaient se libérer de cette emprise. Dans cette salle il y avait huit êtres de petite taille avec des visages humains. Pendant l'atterrissage de l'ovni, une panne d'électricité a affecté toute la localité sans que la compagnie puisse en déterminer la cause. (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 22, 109-110)         
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        1978, 24 janvier
        URSS-ESPACE-DANGER
COSMOS 952, LANCE LE 16 SEPTEMBRE 1977, AVAIT ETE TRANSFERE A ALTITUDE HAUTE LE 8 OCTOBRE. LE 11 OCTOBRE 1977 DES CRAINTES COMMENCERENT A SE MANIFESTER COSMOS 954 AURAIT DONC DU LOGIQUEMENT EN FAIRE AUTANT. LE 17 DECEMBRE L'INQUIETUDE COMMENCE A SE FAIRE VRAIMENT JOUR. ( ...) L'USA PREND CONTACT AVEC L'URSS, PARALLELEMENT LES CHEFS D'ETAT FRANCAIS, ANGLAIS, ITALIEN, JAPONAIS ET CANADIEN SONT PREVENUS DU DANGER. CAR, SOUS UNE INCLINAISON ORBITALE DE 5° LE SATELLITE INDESIRABLE SURVOLE TOUS LES PAYS DU MONDE. SEULS SONT EPARGNES L'EXTRÊME NORD DE LA SCANDINAVIE, LA FRANGE SEPTENTRIONALE DE LA SIBERIE, DU CANADA ET DE L'ALALASKA ET L'ANTARCTIQUE, DES REGIONS QUASIMENT DEPEUPLEES. (...) ON NE SAIT POURTANT PAS ENCORE OU VA TOMBER COSMOS 954, ENTRE-TEMPS IL ACCOMPLIT 16 TOURS DE LA TERRE PAR JOUR. (...) LE 19 JANVIER 1978 L'AMBASSADEUR D'URSS FAIT SAVOIR AUX AUTORITES AMERICAINES QU'IL N'Y A AUCUN RISQUE D'EXPLOSION NUCLEAIRE, POURTANT LA NOUVELLE N'EST TOUJOURS PAS ANNONCEE PUBLIQUEMENT. LE QUARTIER GENERAL DU NORAD INFORME WASHINGTRON LE 19 QUE LA CHUTE AURA BIEN LIEU LE 24 JANVIER 1978. CE JOUR LA, AU PETIT MATIN, HEURE DE LA COTE EST DES USA, (...) COSMOS 954 PENETRA DANS L'ATMOSPHERE VERS 7 HEURES, CE QUI PLACE LE POINT D'IMPACT SUR LE CANADA! IMMEDIATEMENT LES SIX GROS PORTEURS C 141 DE L'EQUIPE D'INTERVENTION NUCLEAIRE DU "NEST" PRENNENT L'AIR DEPUIS L'AEROPORT INTERNATIONAL DE MC CARREN, ET DEPUIS LES BASES AERIENNES AMERICAINES D'ANDREWS ET DE TRAVIS. DES AVIONS DES FORCES ARMEES CANADIENNES, BASEES A EDMONTON, DECOLLENT EGALEMENT, POUR SE JOINDRE A L'EQUIPE DE RECHERCHE. LE DERNIER QUART D'HEURE DE COSMOS 954, SA PENETRATION DANS LES COUCHES DENSES DE L'ATMOSPHERE, VERS 120 KM D'ALTITUDE, COMMENCE AU-DESSUS DU PACIFIQUE, PRESQUE A LA VERTICALE DES ILES HAWAI. PUIS, TRANSFORME EN BOULE DE FEU, LE SATELLITE SOVIETIQUE ABORDE LES COTES DE L'AMERIQUE DU NORD, AU NIVEAU DES ILES DE LA REINE CHARLOTTE, PRESQUE A LA FRONTIERE AMERICANO-CANADIENNE. APRES AVOIR SURVOLE LA COLOMBIE BRITANNIQUE, LE SATELLITE ET SA DANGEREUSE CHARGE PARCOURENT ENCORE 1700 KM, JUSQU'AU DISTRICT DE MACKENZIE. LES STATIONS DE SURVEILLANCE DU NORAD, QUI ONT PARFAITEMENT SUIVI CETTE DESCENTE, SITUENT LE POINT D'IMPACT DES MORCEAUX QUI AURAIENT RESISTE A L'EPREUVE DU FEU, DANS LA REGION DU GRAND LAC DES ESCLAVES. ON NE SAIT PAS CE QU'EST DEVENU LE REACTEUR NUCLEAIRE. S'EST-IL COMPLETEMENT CONSUME DURANT LA RENTREE OU BIEN A-T-IL ATTEINT LE SOL ? CETTE DERNIERE POSSIBILITE PARAÎT LA PLUS PLAUSIBLE, DANS LA MESURE OU LE NOYAU D'URANIUM ETAIT ENTOURE D'UN EPAIS BLINDAGE, DONT LE POIDS EST EVALUE A UNE DEMI TONNE PAR LES EXPERTS OCCIDENTAUX. LE SATELLITE A TOUCHE LE SOL CANADIEN A 6 H 53 HEURE D'OTTAWA. (...) DES LE LENDEMAIN, UN AVION U-2 TENTE DE DETECTER VISUELLEMENT DES FRAGMENTS. UN HERCULE CANADIEN LE SUIT AVEC UN EQUIPEMENT DE DETECTION DE LA RADIOACTIVITE. EN VAIN. (...) POURTANT LES HABITANTS DE YELLOWKNIFE ONT VU DANS LA NUIT LA CHUTE D'UNE BOULE ROUGEÂTRE . ELLE VENAIT DU SUD-OUEST SUIVIE D'UNE LONGUE TRAINEE DE FRAGMENTS INCANDESCENTS. (...) DEBUT FEVRIER 1978, UNE TIGE ARGENTEE DE 25 CENTIMETRES DE LONG SUR 8 DE DIAMETRE FUT TROUVEE PRES DE LA BAIE MC LEOD, EMETTANT LE RAYONNEMENT RECORD DE 500 ROENTGENS. (...) FINALEMENT C'EST TOUT CE QU'ON A RETROUVE DU REACTEUR DE COSMOS 954. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 101 à 114) Des 50 kilos d'uranium une grosse partie est supposée avoir brûlé dans l'atmosphère. Au sol on n'a retrouvé des restes que de la grandeur de grains de sel. Le nettoyage de la région à pris de longues semaines. (The Associated Press) (note de vog : en 1998, la date de l'URSS envers le Canada, pour les recherches et l'entreposage des restes dangereux, s'élevant à un demi milliard de dollars, n'était toujours pas apurée…)
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        1978, fin janvier
        France, Vernouillet
Vers 20 h 15 Mme L observe machinalement le ciel de la fenêtre de sa cuisine. Elle voit alors une forme indéfinissable qui se déplace à une vitesse vertigineuse et s'immobilise instantanément en prenant l'aspect de deux disques lumineux. Les deux disques sont éloignés de 2 diamètres l'un de l'autre. Une bande sombre tangente à la base des disques qui ont un diamètre apparent de 20' d'arc. Par leur couleur, ils rappellent des phares d'automobile. De chacun des disques, un ruban de lumière se dirige vers le sol. Très intriguée, Mme L. réveille son mari qui observe à son tour le phénomène. Après 4 à 5 minutes, les témoins cessent d'observer celui-ci, qui est toujours là, immobile. (Christian DE ZAN : « Guide du Chasseur de Phénomènes OVNI » - éd. De Vecchi 1980, p. 126)
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        1978, 5 février
        ESPAGNE, province de Soria
Le témoin, commerçant madrilène, part à la chasse à la perdrix accompagné de son chien Mus. Bizarrement, alors qu'il est habitué à un terrain de chasse déterminé, le témoin se dirige vers un endroit inconnu. Une sorte d'impulsion l'oblige à engager sa voiture dans un chemin. Le moteur cale, les lumières s'éteignent. Il sort, soulève le capot, examine le moteur, quand le chien manifeste des signes de peur. De derrière une sorte de tumulus surgissent deux inconnus, en combinaison verte, portant sur la tête une cagoule jaune, et semblent vivement intéressés par le chien. Ces individus invitent le témoin à les suivre, ce qu'il fait. Il se retrouve devant un grand objet d'apparence métallique qui flotte immobile à quelques mètres du sol. Un cylindre en descend dans lequel s'ouvre un porte et le témoin y pénètre escorté par les deux individus. Il se retrouve dans un couloir circulaire au pied d'une échelle archaïque qui mène à l'étage. Il y monte et accède à une salle en dôme hémisphérique éclairée de lumière blanche. Il doit montrer son fusil aux inconnus et leur donner une cartouche. Ensuite il se voit redescendre l'échelle, sortir et voit filer son chien devant lui. Lorsqu'il tourne la tête, l'engin n'y est plus. Plusieurs heures se sont passées. Sous hypnose il révélera un voyage spatial. (Bertrand MEHEUST: "En soucoupes volantes" - Imago 1992, p. 39, 40)
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        1978, 15 février
        CANADA, près de Montréal
Durant la nuit l'adolescente de 15 ans est brusquement réveillée et s'assied dans son lit. De la fenêtre de sa chambre parvient une forte clarté et elle se sent incapable de bouger. Très près du sol dans le jardin, un étrange appareil lumineux en forme de dôme stationne au-dessus de la neige, immobile. A la base et à son sommet pulsent des lumières colorées.
- Tu vas te lever et venir nous rejoindre...
- Non ! Ce cri muet elle le hurla mentalement et, une idée, une argumentation fort étonnante la poussa à formuler cette pensée:
- Non, je ne viendrai pas car je suis matérialiste, très attachée aux joies banales de la vie. Vous, vous êtes évolués spirituellement et fort éloignés de mes préoccupations. Laissez-moi, la spiritualité ne m'intéresse pas. (...) Après un temps difficile à évaluer - plus d'une heure sans doute - la paralysie cessa et l'engin, avec lenteur, se souleva. Affolée la jeune fille courut réveiller ses parents. Ceux-ci, par la fenêtre, purent voir sans erreur possible le vaisseau qui maintenant à plusieurs mètres du sol, s'éloignait avec ses lumières pulsantes polychromes. (...) (Jimmy GUIEU: "Nos maîtres les extraterrestres" - Presses de la Cité 1992, p. 35 à 38)
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        1978, février
        ANGLETERRE, Ermington (Plymouth)
Une femme qui désire garder l'anonymat raconte qu'elle a été enlevée par un faisceau lumineux jusqu'à l'intérieur d'un vaisseau spatial, alors qu'elle suspendait du linge mouillé aux fils dans son jardin. D'abord elle aperçut une forme aux lueurs bleues arriver dans le ciel au nord. « La lumière a plané au-dessus du jardin. J'étais pétrifiée et le linge me tomba des mains. Soudain j'étais complètement prise dans des bulles de lumière. Je vis trois entités ressemblant à des hommes. Ils ne parlaient pas. Ils mesuraient environ 1 m 50 et étaient vêtus de vêtements bleuâtres métalliques. Ils m'ont attrapé par les bras et nous sommes montés ensemble dans ce faisceau de lumière jusque dans une espèce de salle. D'autres hommes s'y trouvaient. J'ai alors eu l'impression qu'ils ne me voulaient aucun mal. Un peu plus tard je me suis retrouvée dans l'entrée de mon jardin. A l'arrière du coup j'avais une bosse douloureuse. J'étais abasourdie, mais non blessée. Quand j'ai levé la tête, la chose disparaissait dans le ciel à grande vitesse. » (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 54)
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        1978, février
        GRANDE BRETAGNE, Killingworth (Tyne and Wear)
Linda (pseudonyme) infirmière rapporte l'observation d'un ovni volant entre deux maisons en février 1978. Il y avait un bruit assourdissant, et sa mère se cachait sous les couvertures, convaincue qu'il s'agissait d'un avion sur le point de s'écraser. Mais Linda jeta un coup d'œil par la fenêtre et vit, à quelques mètres à peine, un objet argenté avec une bande de lumières colorées. Elle dit « la chose ressemblait à un boîte de luxe contenant des cigares de grand prix ». (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 31)
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        1978, mars
        NOUVELLE ZELANDE, Gisbome
Trois femmes, couchées à flanc de colline pour observer le ciel dans la soirée, sentirent qu'un "missing time" c'était produit. Peu de temps après cet épisode, une régression hypnotique fut décidée et un scénario d'abduction fut alors révélé. En 1989, une nouvelle régression eut lieu à l'instigation des enquêteurs Keith Basterfield et Bill Chalker,
(note de vog: des enquêteurs pareils, il faudrait les faire régresser jusqu'à leur "non conception" à mon avis!) et il y eut alors un supplément d'information : comme celle d'un faisceau de lumière, ou celle de voir l'une des autres femmes parlant à une entité mâle (note de vog: comme tout ceci est vachement intéressant... fallait-il vraiment hypnotiser à deux fois cette femme pour obtenir de si maigres résultats?) (UFORA89017. Original investigation by Bryan Dickeson. Rétrospective investigation by Keith Baskerfield & Bill Chalker. See also Dykes, M. (1981). "Strangers In Our Skies." INL Lower Hutt.pp46-49.)
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        1978, 18 avril
        NEPAL
(Stephan Gil) à environ 8 heures du soir, au Népal, dans une vallée au bout d'un lac, nous venions de prendre un bain avec mon camarade, quand, vers l'ouest, j'ai aperçu comme des points très groupés ressemblant à une migration d'oiseaux. (…) mais ils avaient disparu. Quelques minutes plus tard, les fameux oiseaux étaient à nouveau là, dans le ciel. Et d'un coup, les points se sont concentrés en une véritable soucoupe volante. Puis l'objet s'est lentement déplacé. (…) L'objet a pris une forme très vague ; Cela ressemblait à un petit cercle de fumée et a duré environ de 30 à 40 secondes. Soudain, dans le ciel, devant nous, nous avons aperçu un phénomène extraordinaire. De nombreux groupes de points se transformaient en soucoupes, puis en cercle de fumée. Ce phénomène a duré près d'une demi heure. Ces objets en forme de soucoupe se déplaçaient à une vitesse extraordinaire. Nous sentions que nous assistions à quelque chose d'invraisemblable. (…) (Shi Bo : « La chine et les extraterrestres » - éd. Mercure de France 1983, p.172)
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        1978, avril
        MALAISIE, Kuala-Lumpur
Selon le quotidien Paris – Normandie daté du 29 avril 1978, une employée d'une usine de composants électroniques de la banlieue de Kuala-Lumpur aurait vu un fantôme sans tête dans son microscope. Cette employée fut prises de spasmes durant deux heures et trente autre employées furent alors victimes d'une crise d'hystérie collective. Quelques heures plus tard, une autre employée observa le même fantôme et tomba en transe. (Christian DE ZAN : « Guide du Chasseur de Phénomènes OVNI », éd. De Vecchi 1980, p 63)
(vog : elle est bien bonne, non ?)
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        1978, 8 mai
        URSS
LES SOVIETIQUES LANCENT COSMOS 1009 A LA POURSUITE DE COSMOS 1006. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 142)
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        1978, 10 mai
        POLOGNE, Emilcin
Jan Wolsky, vieux paysan de 71 ans conduisait sa carriole attelée à une mule à travers une forêt proche d'Emilcin ( à 130 km au sud-est de Varsovie). "Soudain j'aperçus deux petits hommes se tenant au bord du chemin forestier. Lorsque ma carriole arriva à leur hauteur je me rendis compte qu'ils n'avaient rien de normal. Ce n'étaient pas des nains, comme je l'avais cru d'abord. Ce n'étaient même pas des hommes, mais des créatures de cauchemar. Comme je suis croyant je crus avoir une vision diabolique. Je me pinçai et me forçai à reprendre mes esprits, mais rien n'y fit, ce que j'avais sous les yeux était bien réel. Ces monstres avaient le visage de couleur verdâtre avec deux grands yeux en oblique. Ils portaient une combinaison d'une seule pièce et des manches sortaient des mains aux doigts palmés." Ces androïdes sautaient dans la carriole sans prendre d'élan et sans effort et lui intimèrent l'ordre de poursuivre sa route. Quelques dizaines de mètres plus loin ils lui désignèrent un petit sentier perpendiculaire dans lequel il engagea sa mule. Parvenu dans une clairière Wolsky, qui n'en croyait pas ses yeux vit un objet étrange, de la taille d'un autobus, flottant dans l'air à quelques mètres de hauteur et animé d'un lent mouvement de tangage, comme une barque sur l'eau d'un lac à peine agité par le vent. "Les deux nains se saisirent de moi et m'emmenèrent au-dessous de l'engin. Une plate-forme en sortit et vint se poser à terre en sifflant. Nous y prîmes place tous les trois et nous fûmes aussitôt entraînés dans les flancs du vaisseau. La salle dans laquelle nous débouchâmes était sombre malgré de nombreux hublots. Elle était absolument vide à l'exception d'une vingtaine d'oiseaux de la forêt apparemment vivants mais figés dans une immobilité complète. Je commençais à m'affoler quand deux créatures pénétrèrent dans la salle portant chacun à la main un appareil émettant un ronflement et des cliquetis. L'un d'eux me fit comprendre par geste que je devais me déshabiller. Quand ce fut fait ils promenaient leurs appareils sur tout mon corps. Puis, ils les rangèrent et je pus me rhabiller. Ensuite je ne sus plus quoi faire. Ils me regardaient en silence sans faire un geste. Timidement je me suis dirigé vers le sas par où j'étais entré. L'un d'eux inclina légèrement la tête et fit comme un sourire. A peine avais-je mis les pieds sur la plate-forme qu'elle me descendit à terre avec le même sifflement. Je pris alors ma carriole et rentrai chez moi sans demander mon reste." (J.-L. B. - Nostra - 23.7.1980)
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        1978, 15 mai
        USA, Gilroy
(cfr: 15 septembre 1975, Industrial City) Mme Victor (infirmière) était dans la maison d'une de ses malades, une dame âgée, quand soudain elle tomba comme si quelqu'un l'avait violemment jetée à terre; pendant les minutes qui suivirent elle fut sévèrement battue par une entité invisible. La vieille dame rapporta qu'elle vit Mme Victor tourner et tourbillonner sur le sol, heurtant des obstacles sur son passage. Elle souffrit de nombreuses contusions, une écharde de bois perça une veine et elle se cassa une jambe. Elle dut passer 6 jours à l'hôpital. (Jacques VALLEE: "Confrontations" - Laffont 1991, p. 120)
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        1978, 19 mai
        URSS
(cfr: décembre 1977)
LE CHASSEUR COSMOS 1009 EST ENVOYE VERS LA MÊME CIBLE (COSMOS 967) POUR UNE APPROCHE LENTE SUIVIE D'UNE RECUPERATION. (suite: avril 1980) ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 154)
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        1978, 28 mai
        BELGIQUE, Quaregnon (Hainaut)
Lieu: une étendue de prairies au pied d'un terril. Quatre chevaux y sont en pâture. Gabriel Stoquart a fini de déverser le picotin dans les auges et s'en va voir les clôtures, du côté des épineux. Le gamin, qui l'accompagnait, reste à caresser les chevaux sur les naseaux et crie tout à coup "Regarde là!". Le témoin aperçoit alors, venant vers lui, une forme grise, comme celle d'une montgolfière dont la toile se dégonfle et qui flotte en oscillant. Mentalement il fait la réflexion qu'ils vont avoir du mal à sortir de cet endroit marécageux. Il change de position pour mieux voir cette chose qui descend, qui est maintenant posée dans ce qu'il appelle le marais. Mais il ne s'agit pas d'une montgolfière constate-t-il médusé. Cette chose se met à vibrer, sa couleur gris sale devient lumineuse, d'un bleu électrique comme on peut voir sur certaines enseignes lumineuses. C'était magnifique. Puis cette chose a glissé légèrement et est monté tout droit à une vitesse vertigineuse. Pendant l'ascension elle était d'une couleur lumineuse blanc-mat. Le témoin et l'enfant n'ont plus traîné sur place et ont rejoint leur domicile. Comme le témoin habite face à la police, il y est entré pour raconter l'événement. Les policiers étaient prêts à rentrer chez eux, vu qu'entre-temps il devait être aux environs de 16 heures. Mais deux des hommes ont accompagné le témoin sur place le même jour: ils découvrent sur place des traces de l'atterrissage avec empreintes des pieds de l'engin et une sorte de poudre blanche qui colle sur les végétaux. Le lendemain c'est une équipe de 6 hommes de la police de Quaregnon qui est venue sur les lieux. Des moules en plâtre ont été prises des renfoncements (empreintes), de la poudre - comme du talc - a été recueillie dans des sachets. De la poudre avait souillé les mains d'un des policiers. De retour au bureau, même après s'être lavé les mains, cette poudre lui collait toujours à la peau. Du haut du terril un policier filme les activités avec un Super 8.
(Enquête rouverte en 1995 par vog et Thierry WATHELET. Motifs: mort des policiers qui avaient été en contact avec la poudre, mises en cause de la SOBEPS, du GEPAN, de professeurs d'université, d'autorités politiques, de la gendarmerie française… qui toutes auraient fait disparaître les preuves et dont certains alléguent que l'affaire est un canular. Le canular est formellement contredit par 4 inspecteurs de la police communale encore en activité en 1995. vog se fait subtiliser le dossier original à son domicile le 19 février 2000 par Claude Raffy, connu dans les milieux ufologiques français et depuis introuvable, mais il y avait heureusement des copies en sécurité )
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        1978, mai
        URSS, Strokino
A 15 heures un docteur ès sciences a remarqué un objet étrange dans une clairière de la forêt, derrière sa maison de campagne. Il s'y est rendu pour mieux voir. Dans la clairière il y avait un objet en forme de cigare de 8 m de long qui touchait le sol d'une extrémité, l'autre étant suspendue à 45° par rapport à l'horizon. Malgré cette position inexplicable l'objet ne bougeait pas. En voulant s'en approcher le témoin a senti la présence d'une barrière invisible et infranchissable à la fois (sur la fréquence de 7 hz, d'après le témoin). (Boris CHOURINOV: "Les deux faces de l'ufologie en Russie" - mai 1994, p. 15)
        1978, 22 juin
        CANADA, réservoir Cabonga ,Parc de la Vérendrye
Heure: 22 heures 15 minutes. Témoins: Deux (M. Alain Mainville et Louis Roger) Enquêteur: Monique Taillon.
Le soir du 22 juin 1978 Monsieur Alain Mainville et monsieur Louis Roger étaient à la pêche au réservoir Cabonga qui est situé dans le Parc de la Vérendrye. Ce réservoir couvre une immense superficie d'eau, et est constitué de nombreuses baies et îles, on y trouve différentes variétés de poissons. Les deux témoins étaient au moment de l'observation à environ d'une demi heure de leur campement près du camping de la Baie Brady, et étaient en train de pêcher dans leur embarcation. Le ciel était entièrement couvert, et il commençait à pleuvoir, l'heure indiquait 22 heures 15 minutes quand tous deux considèrent de lever l'ancre, afin de rentrer à leur campement pour éviter d'être complètement trempés par la pluie. Ils avaient juste parcouru quelques centaines de mètres en direction sud du réservoir quand ils virent soudainement en face d'eux, juste au-dessus de l'eau un énorme disque de couleur rouge vif. Ne l'ayant pas vu venir, car il est apparu tout d'un comme on allume une lumière, l'un des témoins Alain, pris de panique arrêta le moteur hors bord. Son ami Louis qui était à l'avant du bateau alluma en toute hâte sa lampe de poche afin de signaler leur présence, car il croyait que cette lumière intense provenait d'une autre embarcation qui semblait leur foncer dessus. Il se jeta ensuite dans le fond du bateau. Quelques instants après, Alain lui cria " éteint tout de suite ta lampe ". En le faisant ils se sont aperçus que l'objet était déjà assez loin devant eux, et ils virent qu'il s'agissait clairement d'un objet volant en forme de disque vu de côté qui avait une couleur rouge intense. Ce disque disparut quelques secondes plus tard à toute vitesse en direction sud-est. L'observation avait duré environ 30 secondes. Le disque en s'éloignant semblait se rétrécir en devenant un peu plus pâle. Il ne faisait aucun bruit. Peu après Louis se tenant toujours à l'avant de l'embarcation distinguait des lueurs comme des rayons sans pouvoir dire quant à leur forme ou à leur couleur. Alain de son côté n'a rien vu de tel. Les deux témoins ont affirmé qu'ils n'avaient aucune envie de revivre un tel événement. (UFO Québec no 25 éd. Gracieuseté Q.I)
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        1978, 24 juin
        PORTUGAL, Caxias-Lisbonne
A 12 h 45, le témoin ayant fini son travail domestique, observa une grande lumière au-dessus des collines proches de sa maison. Au bout de quelques secondes elle vit l'objet, en forme de disque, passer à 150 m du sol de derrière la colline. Très excitée elle appela son fils. Par rapport à leur position l'objet avançait vers la droite tout en projetant deux faisceaux de lumière rouge dirigés apparemment dans leur direction. Ils eurent un moment de panique. Entre-temps le mari de Laura rentrait à la maison et continua l'observation avec eux. L'objet mesurait près de 200 mètres de long pour à peine 3 m à 3,50m de haut. Il finit par disparaître derrière les autres collines. (collaboration of Larry Fenwick, CUFORN, Joaquim Fernandes, CNIFO, Willy Smith, UNICAT Project; listing de Victor Lourenço; CEAFI, Lisbonne)
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        1978, 6 juillet
        ARGENTINE, région de Maipu
Durant la nuit Francisco Nunez et son fils, tous deux mécaniciens, voyageaient à bord d'une toute vieille Chrysler modèle 1933, quand soudain, à leur grand étonnement, le véhicule se trouva dévié de sa route, soulevé dans les airs, tandis que le moteur s'arrêta mais que la radio continuait de fonctionner. Ils se retrouvèrent ainsi "entourés de sensations agréables". Le père, souffrant de surdité, put entendre pendant cette ascension, ce que disait le fils. Ils ressentirent ensuite un grand froid et furent éblouis par des lumières rougeoyantes, ce qui les fit regarder vers le bas. La panorama qui s'offrait révélait être la vision d'une ville inconnue, avec des bâtiments tours accolés entre eux. Il y avait une rue de 5 m de large, une seule; aucune autre rue, aucun arbre, aucune personne, aucun véhicule. Les fenêtres des maisons étaient colorées d'une lueur rouge et les édifices semblaient marron. Cette vision ne dura qu'un court moment, car la Chrysler semblait "voler" très rapidement. Finalement le véhicule se retrouva sur la route, à 9 km du lieu où s'était produite l'ascension, aussitôt touché le sol, le moteur repartit tout seul. (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type " - De Vecchi 1979, p. 110, 111)
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        1978, 8, 10 et 12 juillet
        USA, Butler, Richland County (Ohio)
(Source :Patricia Mason - Témoins :Eugene Kline, Theresa Kline and Ken O'Neal
Enquêteurs: Ron Schaffner, Earl Jones)
La famille Roger Kline vit à la limite de Butler, leur propriété s'étend jusqu'à la voie du chemin de fer et jusqu'à l'orée des forêts. Le 8 juillet, à 23 heures environ, Eugène Kline et Ken O'Neal, tous deux âgés de 17 ans, se promenaient dans les champs quand ils entendirent un bruit bizarre dans les broussailles. En se retournant ils virent une créature inconnue, haute de plus de 2 mètres, avec une énorme tête plus large que le corps et de grands yeux rouges. Ils paniquaient immédiatement et si Ken courait vers la maison, Eugène était cloué sur place, pendant un long moment, avant de pouvoir rejoindre son ami. Le père d'Eugène appela la police, qui vint enquêter sur place. Le 10 juillet, la créature était observée par d'autres résidents de Mansfield. (noms au rapport de la police, mais non divulgués au public) Il était environ 22 heures quand un groupe de jeunes gens faisaient du cross près de la voie ferrée. Ils appelaient la police de Bellville pour affirmer qu'une apparition d'une grande créature noire avec des yeux rouges les avaient effrayés. Les autorités étaient impressionnés par ces témoignages concordants, venant de personnes séparées. Dans la soirée du 12 juillet, Theresa Kline aidait son père a étaler du foin dans l'étable, quand ils entendirent au loin l'arrivée lente d'un train. Quand le train se mit à sonner de la trompe à intervalles courts et longs. Le père rentra et Theresa, curieuse de l'avertissement que fit le train, décida d'aller jeter un coup d'œil. Elle n'était pas allée très loin avant d'apercevoir la silhouette aux yeux rouges. La créature émit une longue plainte aiguë de douleur. Il puait terriblement. Theresa alluma la lampe de poche et la créature se mit à courir. Le shérif averti ne put trouver d'indices physiques de cette créature, et supposaient, avec un scepticisme ironique, que les Kline voyaient quelque animal sauvage sorti des bois. (... )
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        1978, 15 août
        BOLIVIE, Chacez (La Paz)
Roberto Rodriguez dormait dans la chambre d'amis de la maison de sa sœur et fut réveillé par un ronronnement. Il descendit du lit et alla voir à la fenêtre. Il était là! Comme le fuselage d'un avion, sans ailes ni queue. De couleur argenté et très poli, comme un miroir. Il y avait une série de hublots tout le long, mais le témoin ne remarqua aucun signe de vie à l'intérieur de l'engin. L'appareil émit une sorte de lumière verte pulsante, semblant provenir de sa base. Il était là, planant. Rodriguez était sur le point d'éveiller tout le monde, mais en un flash, l'engin était parti. (Ufo Roundup vol 2 n° 35 du 14.09.97, Joseph Trainor)
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        1978, 21 août
        USA, Paris, US route 30 - à l'est de Minerva (Ohio)
(Source :Patricia Mason - Le 21 août à 22 h30, le 22 août à 21 heures, le 23 août à 23 heures, le 8 septembre à 18 heures, le 9 septembre à une heure non indiquée, mais dans la soirée. Témoins: Evelyn Cayton, Howe Cayton, Herbert Cayton, Vicki Keck, Scott Patterson, Mary Ackerman, Becky Manley, Linda Jones et Henry Colt . Enquêteurs: Ron Schaffner, Earl Jones, Jim Carnes Jim Rastetter, Iona Boyce, Barbara Mudrak,(Akron Beacon-Journal) et James Shannon (Stark County Deputy Sheriff) Enquête effectuée les 9 et 30 septembre 1978.)
21 août. : L'observation majeure a lieu le 21 août; Les membres de la famille d'Evelyn Cayton et des amis, se trouvaient sur le pas de la porte quand ils entendent des bruits inhabituels dans la direction de la basse-cour, à la droite de la maison. Regardant dans cette direction, ils voient une paire d'yeux jaunes dans la lueur de la lampe extérieure. Scott Patterson, dont la voiture se trouvait justement bien mise, va allumer ses phares, et tous voient alors une créature bipède de grande taille recouverte de fourrure. La créature marche en direction de la voiture, et toute la compagnie se réfugie dans la maison pour appeler la police de Stark County. Dans l'attente de la police, la créature apparaît à la fenêtre de la cuisine, Patterson sort son pistolet calibre 22, Evelyn charge une 22 long rifle. La créature reste devant la fenêtre durant une dizaine de minutes et est très bien vue à la clarté de la lampe extérieure. Ils décident de ne tirer que si elle bouge. Soudainement elle disparaît. Le Shérif arrive 15 minutes après l'appel soit environ 5 minutes après la disparition de la créature. Une forte odeur plane toujours dans la zone. Shonnan dit aux reporters que cela puait le souffre et l'ammoniac.
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        1978, 30 août
        ARGENTINE, Gobernador-Dupuy (Tichry-Talro, St Louis)
A 16 h 30, durant une pause au travail, un jeune bûcheron de 26 ans, vit un "véhicule" s'approcher et s'immobiliser à l'endroit où il se trouvait. Il en sortit une forme humanoïde, dont il ne pouvait voir ni le visage, ni les extrémités inférieures. Cette forme vint vers lui, les mains tendues en avant en montrant les paumes. L'être était entièrement recouvert d'une espèce de maille de couleur bleutée. Pris de panique le bûcheron voulut prendre la fuite, mais l'être pressa sur un bouton sur sa poitrine qui paralysé le bûcheron. Quelques instants plus tard il se retrouva à l'intérieur de l'objet, sans qu'il sache comment cela se produisit. Là, des petits êtres lui piquèrent les bras. Après quoi ils le libérèrent dans un lieu d'accès difficile, à environ 40 km de l'endroit où il travaillait. (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 116-117)
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        1978, 13 septembre
        BRESIL, Blumenal
Mme Carvalho voyageait tranquillement sur la route de Blumenal à bord de sa Chevette blanche à environ 100 km/h. Soudain elle sentit que la voiture perdit de la vitesse, puis elle a senti comme une ombre circulaire, incroyable, qui prenait toute la voiture, qui était alors aspirée. Lorsqu'elle reprit ses esprits elle était très, très haut. Elle avait l'impression que la voiture se défaisait, les portes battaient comme si c'était de la vieille ferraille. Ensuite, elle ne se souvient de rien. Quand elle revint à elle, elle était dans un local semi-circulaire, jaune mate, et devant elle se tint un très grand homme de plus de deux mètres, qui dit qu'il s'appelait Dagon. Il parlait sans remuer les lèvres et pendant qu'il parlait Mme Carvalho se sentit comme "diminuée de volume", comme si ces vêtements étaient agrandis, ses pieds flottaient dans ses bottes. Se trouvant devant cet homme il n'y avait plus de voiture, il n'y avait plus rien. C'est la police fédérale qui retrouva Mme Carvalho endormie sur la route de Florianapolis, soit sur la route de retour.
(note de vog: coïncidence? Blumenal-Florianapolis: deux noms qui signifient "ville de la fleur?) (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 112, 113)
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        1978, 23 septembre.
        ARGENTINE, entre Viedma et les salines de Pedra
Lors du rallye international d'Amérique du Sud avec départ le 17 août, Carlos Acevedo était le conducteur de la Citroën et Miguel A. Moya Herrera l'assistant, remplaçant Hugo Prambs, qui sans donner d'explication abandonna brusquement la course le 16 septembre à Bariloche. Le 23 septembre à l'aube il n'y a plus que 1000 km à parcourir. Ils roulaient à 140 km/h et virent arriver derrière eux, ce qu'ils croyaient être un concurrent, se rapprochant à vitesse vertigineuse avec des phares éblouissants. Soudain la voiture commença à s'élever et tout l'intérieur s'inonda de lumière. Le moteur s'arrêta de tourner. Regardant dehors, ils virent qu'ils étaient à près de 4 m du sol et que la voiture montait toujours. Le volant ne répondit plus. Cela ne dura pas plus d'une minute et ils furent redéposés en douceur sur la route, moteur à l'arrêt. Ils virent alors la lumière s'éloigner, elle avait la forme d'un cône. Sous le coup de la frayeur ils firent encore les quelques kilomètres qui les séparaient de Pedro Luro et relatèrent dans une station service ce qui était arrivé: ils craignirent de ne pas être pris au sérieux, mais on leur dit que cela était déjà arrivé à d'autres automobilistes à cet endroit. Mais voilà les éléments à ajouter à l'énigme: le compteur kilométrique mis à zéro à Viedma, indiquait 50 km. Or, la distance jusqu'à Pedro Luro est de 120 km. Le réservoir d'essence fut rempli à Viedma, et avait une capacité pour parcourir 400 km: or, ce réservoir était à présent vide. (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi, 1979, p./ 114, 115)
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        1978, 2 octobre
        AFRIQUE DU SUD, Despatch
Quatre garçons de 13 à 16 ans se reposaient sous un arbre après une excursion fatigante, lorsqu'ils aperçurent une soucoupe métallique brillante dans la brousse à environ 500 m d'eux. Ils virent ensuite deux êtres étranges vêtus de combinaisons argentées qui, au lieu de marcher, glissaient silencieusement au-dessus des buissons et des clôtures et bien plus vite que lors d'une marche. Un troisième personnage apparut alors, portant une boîte métallique de couleur grise à sa ceinture. Ces humanoïdes ne semblaient avoir ni visage, ni bras, ni jambes, que l'on put distinguer à cette distance. L'un des garçons avait un appareil photographique dans son sac, mais il fut incapable de s'en servir, comme s'il était paralysé. Lorsque les humanoïdes s'éloignèrent en direction de leur soucoupe, les quatre garçons terrifiés se sauvèrent en courant et allèrent raconter leur histoire à la police locale qui fit une enquête dès le lendemain. On retrouva des empreintes ovales de 20 cm sur 8 et une grande empreinte ovale de 13 m de long et 7 de large avec 8 trous triangulaires profondément creusés dans le sol. (...) (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du cosmos" - Laffont 1980, p. 197, 198)
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        1978, 3 octobre
        France, Mouzon
Le témoin, Jean-Pierre Masson, âgé de 19 ans, ouvrier, rapporte les faits suivants : « Cela se passa vers 2 heures du matin. Je venais de quitter ma fiancée demeurant à Mouzon, en empruntant la route départementale CD 19, pour regagner mon domicile à Beaumont, lorsque je fus rendu au lieu-dit « Le Fond de Limon » juste avant la sortie du bois, j'aperçus avec stupeur sur ma droite, une drôle de chose luminescente. Cela ressemblait à une sorte de cigare de couleur verte, mais d'un vert éclatant, très éblouissant. Lorsque je fus parvenu assez près de l'objet, le moteur ainsi que l'éclairage de ma moto cessèrent brusquement de fonctionner et je me retrouvais spontanément plongé dans l'obscurité, si ce n'est que j'eus le temps de constater que la puissante lumière émise par l'objet éclairait le sol et le paysage autour. J'essayais en vain d'embrayer plusieurs fois en profitant de mon élan, mais le moteur ne redémarra pas. L'objet se tenait parfaitement immobile et silencieux, suspendu à environ 100 mètres au-dessus du champ de maïs à environ 50 ou 60 mètres du bord de la route. Après s'être déplacé lentement et parallèlement à la route, l'engin s'élança brusquement en effectuant un virage et franchit la route à peine à 40 m devant moi, à une allure foudroyante, tel un éclair. Lorsqu'il eut disparu au-dessus des arbres sur ma gauche, le moteur et l'éclairage de ma moto refonctionnèrent d'eux-mêmes sans aucune intervention de ma part. Je n'avais pas coupé le contact durant l'observation. » (Jean-Michel LIGERON : « Ovni en Ardennes » 1981, p 112)
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        1978, 3 octobre
        JAPON, Sayama-Saitama
Le radioamateur Hideichi Amano s'était dirigé en voiture équipée au sommet d'une montagne pour faire une transmission radio. Le moteur cala et le véhicule fut immobilisé. Il y eut de bizarres lumières dans et hors de son véhicule et aux fenêtres il vit une créature humanoïde. Une sorte de bavardage sortit par un "tuyau" qu'il portait en bouche. Après quelques minutes cette vision s'évanouit et l'automobile put à nouveau démarrer.
(vog : ceci est le récit « raisonnable ») (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 340, 341) Amamo s'était rendu au haut d'une colline pour transmettre des messages radio sans interférences, en laissant son fils âgé de deux ans, endormi sur la banquette arrière. En retournant à l'auto il trouva son petit environné de lumière avec de l'écume sur la bouche. Se mettant au volant pour chercher du secours, il ne parvint pas à démarrer. Il sentit alors comme un objet métallique que l'on pressa contre son front. Et par la fenêtre il vit une étrange créature à tête ronde, des grandes oreilles pointues, de gros yeux ronds de couleur bleue, la tête reposant sur le corps dépourvu de cou. Ce qui touchait le front d'Amamo était une sorte de tube sortant de la bouche de l'entité. Pendant cinq minutes de bizarres messages télépathiques passaient au moyen du tube directement dans la mémoire d'Amamo. Plus tard, sous hypnose, Amamo les répétait. Puis l'entité s'évanouit sur place, et tout redevint normal. (vog : ceci est-il le récit « ufologique » ?) (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 21)
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        1978, 21 octobre
AUSTRALIE, Ile de King, détroit de Bass
Affaire Valentich
. En fin d'après-midi, Frederick Valentich décolle de Melbourne aux commandes de son "Cessna 182". Il se rend à l'île de King. Il a 20 ans et est relativement inexpérimenté pour un vol nocturne. Vers 19 h 06, Frederick Valentich appelle la tour de contrôle de Melbourne Flight Service (M.F.S.). Le contact radio va durer 6 minutes avant d'être dramatiquement interrompu. La conversation a été intégralement enregistrée et largement reproduite dans la presse australienne:
Frederick Valentich: Il semble y avoir un grand appareil sous 5000 pieds...
M.F.S.: Quel est le type de cet appareil?
F.V.: Je ne peux pas le préciser. Il a quatre brillantes lumières, qui ressemblent à des feux d'atterrissage. L'engin vient juste de passer à environ 1000 pieds au-dessus de moi.
M.F.S.: Pouvez-vous confirmer qu'il s'agit d'un grand appareil?
F.V.: Affirmatif. Etant donné la vitesse avec laquelle il se déplace, peut-il s'agir d'un appareil de la R.A.A.F.? (Royal Austrian Air Force).
M.F.S.: Négatif. Confirmez-vous qu'il ne vous est pas possible d'identifier cet appareil?
F.V.: Affirmatif... (puis trois minutes plus tard)... L'avion! Ce n'est pas un avion, c'est... (coupure de transmission)
M.F.S.: Pouvez-vous décrire cet appareil?
F.V.: Il vient juste de passer devant moi. Il a une forme allongée. Je ne peux pas en distinguer davantage...il vient droit sur moi, maintenant...on dirait qu'il est immobile à présent...je tourne en rond et la chose tourne également en rond au-dessus de moi...il a une lumière verte et une sorte de lumière métallique extérieure... Tiens! Il s'est évanoui !... Savez-vous quelle sorte d'appareil j'ai pu observer? Est-ce un engin militaire?
M.F.S.: Il n'y a aucun vol militaire prévu dans ce secteur.
F.V.: (19 h 12) Mon moteur commence à tourner au ralenti et à tousser.
M.F.S.: Qu'est-ce que vous comptez faire?
F.V.: Poursuivre ma route sur l'île King... l'appareil inconnu est maintenant planant au-dessus de moi...
M.F.S.: Identifiez-le!... (Ensuite un long bruit métallique se fait entendre, pendant 17 secondes, et le contact avec l'avion de Frederick Valentich est définitivement perdu.) Aucune trace, aucun débris de l'appareil ne furent retrouvés. (rapport CSISOP; Charles GARREAU: "Les Pilotes témoignent: Les OVNI sont parmi nous" Article dans Historia n° 421 - déc. 81 p. 105) Frederick Valentich, aux commandes de son Cessna, signale par radio la présence d'un "avion" au-dessus de lui, qui se rapproche ensuite et fait des cercles autour de lui. Valentich est incapable d'identifier l'objet. Son propre moteur commence à donner des signes de défaillance. Tout contact est alors perdu avec l'appareil et son pilote, dont aucune trace ne sera retrouvée. Disparition volontaire? Accident causé par la désorientation du pilote? (Science et Vie, édition spéciale: 50 ans d'ovni, Atlas des cas Inexpliqués, p. 60 à 63)##
        1978, octobre
        ITALIE, le long de la côte
Durant la vague d'ovni d'octobre 1978
(note de vog: ???) des pêcheurs ont vu se former des colonnes d'eau de 30 m de haut dans la mer calme et ont vu émerger un bref moment, un corps sombre, plus grand que leur bateau. L'objet replongea aussitôt. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 167)
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        1978, nuit du 10 au 11 novembre
        KOWEIT
Un ovni atterrit près de la ville et reste au sol durant sept minutes sous les yeux des employés d'une station pétrolifère, puis reprend son vol. Toutes les communications téléphoniques et radio sont coupées durant ce temps. (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 54) Selon les quotidiens « Al Qabas » et « Al Watan » il s'agissait d'une masse lumineuse aveuglante. L'objet se posa à proximité d'une station d'écoute de satellites située à environ 50 km à l'est de la capitale . Quatre employés de la société des pétroles ont pu voir, à une distance de 250 mètres, un objet discoïdal de la taille d'un Jumbo Jet, avec un avant-train rétractable et surmonté d'une sorte de coupole au sommet de laquelle brillait une lumière rouge. (Guy TARADE : « J'ai retrouvé la piste des extra-terrestres ». éd. Alain Lefeuvre 1980, p. 221)un ovni cylindrique avec une coupole et des lumières rouges clignotantes, atterrit mais ne laissa aucune trace.
) (« Dossiers OVNI », éd. Marshall Cavendish, Paris 1998, Hors série, p.41)
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        1978, mi-novembre
        CHINE, Zhangyixian (Gansu)
… 7 h 30 du soir, je marchais près de la porte de l'Est (…) et j'ai vu dans le ciel un objet volant lumineux à trois queues. Il faisait assez froid ce soir là et il y avait peu de passants (…) J'ai vu dans le ciel à 400 m de moi un objet volant plus grand qu'une cuvette. Il traînait trois queues derrière lui, comme un cerf-volant chinois. Il volait lentement en direction de l'ouest. Dans cet énorme objet, j'ai constaté quelque chose comme une grosse ampoule électrique qui s'allumait et s'éteignait alternativement, jetant une lumière jaune. Les trois queues étaient blanches et mesuraient chacune 3 m environ : elles ondulaient dans l'air derrière le corps principal en mouvement. Tout d'abord j'ai cru que c'était un vrai cerf-volant muni d'une lanterne, mais en hiver personne ne pratique ce sport (note de vog : pas d'exception à la règle, vraiment ?) (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p 134)
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        1978, nuit du 6 au 7 décembre
        ITALIE, Torriglia (Gênes)
Affaire Fortunato Zanfretta, 26 ans, agent de gardiennage à bord de la Fiat 126 de la compagnie, muni d'un appareil radio en contact avec la centrale de Gênes, fait le tour des villas à surveiller. Devant l'une d'elles, il remarque des lumières blanches disposées en triangle et croyant avoir affaire à des voleurs, il s'arrête, éteint le moteur et décide d'avertir la centrale. C'est alors qu'ils constate que la radio ne fonctionne pas, tandis que les phares s'éteignent ainsi que les lumières du tableau de bord. Il se munit d'une lampe torche pour aller inspecter la villa. Il ne voit personne, rien que ces trois lumières, et le silence est absolu. Il éclaire le portail qui est ouvert, ainsi que la porte d'entrée de la villa. Il éteint sa lumière et dégaine le revolver. Tout à coup les lumières s'approchent de lui, passent devant, disparaissent derrière l'angle de la maison. Voulant prendre les voleurs par derrière il se dirige vers l'autre coin, et sent alors à l'improviste une forte poussée provoquée par une main. Il bascule et tombe sur la pelouse. En tombant la torche s'est allumée, il s'en empare et éclaire à hauteur d'homme, mais ne voit que de gros tuyaux horizontaux, posés l'un sur l'autre... à 3 m de hauteur il trouve la tête, vert foncé, de 60 cm de largeur, yeux triangulaires jaunes énormes et lumineux, inclinés vers le haut. Sur le front quelque chose d'indéfini lumineux jaune avec de grosses rides irrégulières, sur le côté des espèces d'arêtes d'algues et devant quelque chose comme des oreilles ou cornes droites, pointues, tournées vers le haut. A peine cette inspection rapide finie, l'effrayant personnage disparaît et le gardien de nuit s'enfuit essayant de rejoindre la voiture. Alors qu'il court il entend un sifflement modulé, très fort, insupportable et une forte onde de chaleur. Il se retourne comme pour conjurer le cauchemar qu'il vit, mais ce qu'il voit le terrorise encore plus. Sur le fond du ciel se détache un large triangle aplati dont la base est cachée par un immense clarté, tellement aveuglante qu'il doit se protéger le visage des bras. Cette lumière part en zigzag vers le ciel. Zanfretta atteint le véhicule et il s'évanouit, pour 50 minutes ne se réveillant qu'à l'arrivée de collègues qui le trouvent à 80 m de l'auto, le corps et les vêtements brûlants. Traces au sol. Sous hypnose Zanfretta livre l'autre partie de son contact avec ces êtres horribles.(suite : décembre 1978) (Inforespace n° 46 de 1979, p. 17 à 22)
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        1978, 12 décembre
        ALLEMAGNE, entre Neuötting et Burghausen
Adele Holzer (43) fait les 15 km entre ces deux villes pour se rendre à son travail. Elle voit un ovni et gare sa voiture pour observer. La soucoupe arrive à vitesse effrayante, puis s'immobilise à 70 m au-dessus des arbres. Un rayon vert en sort et elle se sent paralysée en même temps elle a la sensation d'un contact télépathique: elle ne doit rien craindre, ils sont gentils, sont originaires d'un système binaire (à deux soleils) et prétendent que les terriens et eux ont les mêmes origines sur la planète Phaeton (5 planètes) dont tous les habitants résidents ont péri dans une explosion atomique en chaîne. Les survivants se trouvent sur Mars. Après ce message, la clé de contact de Mme Holzer reste courbée, c'est un souvenir. (dans la mythologie grecque Phaeton est le fils du dieu soleil Helios, voyageant dans un char si mal fichu qu'il embrasa la Terre...) (Mitarbeiter, "Ufo Geheimnisse", Berlin, Januar 1998)
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        1978, fin décembre
        TIBET, plateau Qinghai
Un soir, à 9 heures environ, un ouvrier est sorti de la tente, a vu un phénomène jamais rencontré et a crié (…) Tout le monde est accouru et a vu en effet un énorme croissant, long de plusieurs dizaines de mètres. Il était d'un bout à l'autre argenté et jetait une lumière très intense. En montant et en descendant, il avançait rapidement dans le ciel comme un bateau au fil du courant. A ces deux extrémités pointues, il y avait deux lumières particulièrement brillantes. Nous n'avons entendu aucun bruit, ni senti le souffle provoqué par son mouvement. (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p 136)
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        1978, décembre
        ITALIE, près de Gênes
(cfr nuit du 6 au 7 décembre 1978) Fortunato Zanfretta est "enlevé" pour la seconde fois - cas non documenté, mais mentionné par GUIEU (suite au 30 juillet 1979) (Jimmy GUIEU: "Nos maîtres les extraterrestres" - Presses de la Cité 1992, p. 96) Trois semaines après le premier incident, il passait en voiture à la même heure au même endroit, lorsqu'il revit les mêmes lumières suspectes. Comme la première fois son moteur s'arrêta, il perdit connaissance et ne se souvint de rien de ce qui s'était passé lorsqu'il reprit ses esprits vers 1 heure du matin. Hypnotisé à nouveau, Fortunato raconta la même histoire, qu'il avait encore été enlevé dans une soucoupe volante et que cette fois une dizaine d'humanoïdes lui avaient fait subir un examen médical complet. Ces êtres d'environ 3 mètres de haut avaient une peau verdâtre couverte de poils, des yeux jaunes très bridés, de grosses veines rouges sur le front, une bouche très étroite et des mains comme les nôtres. Il comprenait ce qu'ils lui disaient, grâce à un casque qu'ils avaient posé sur sa tête et qui lui faisait très mal. Lorsqu'ils le rendirent à la liberté il put assister au décollage de l'engin énorme, de forme triangulaire et de couleur blanche. (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du cosmos" - Laffont 1980 - p. 201)
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        1978, 30 ou 31 décembre
        NOUVELLE-ZELANDE, détroit de Cook, Kaikoura
Une équipe de télévision australienne survolait le détroit de Cook dans l'espoir de filmer des soucoupes volantes qui apparaissaient tous les jours à la même heure depuis dix jours. Ils ne furent pas déçus, ils purent en filmer une magnifique devant eux, sans se douter qu'ils en avaient une semblable derrière, qui leur fut signalée par l'opérateur de radar au sol. Les photos du film étaient si parfaites qu'elles furent immédiatement qualifiées de fausses par les scientifiques officiels qui les examinèrent. (...) (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du cosmos" - Laffont 1980, p. 203) Des journalistes de télévision et les deux pilotes de leur avion observent de nombreuses lumières non identifiées dans la région de Kaikoura, entre Wellington et Christchurch le soir du 30. Elles sont aussi détectées par radar. La même nuit, lors du vol retour, une lumière blanche reste d'abord fixe avant d'accompagner l'avion puis de disparaître. Elle est filmée durant quelques minutes et repérée par plusieurs radars. D'autres témoins se manifestent dans la région. (Science et Vie, édition spéciale: 50 ans d'ovni, Atlas des cas Inexpliqués, p. 60 à 63) L'examen microscopique du film montre qu'un humanoïde ressemblant à un fœtus humain quitte l'appareil. Un examen approfondi en montre encore deux autres autour de l'appareil…. (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 42 à 45)
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        1978,
URSS,
Le vétérinaire V.G. Paltsev, sur sa tournée à 500 miles de Moscou, se trouva nez à nez avec un engin au sol. Trois petits humanoïdes avec des têtes en forme d'œuf, avec de longs doigts aux mains, se trouvaient debout près du véhicule. Comme le vétérinaire voulut s'en approcher il fut mis knock-out par une force étrange. Quand il se réveilla, il constata que sa montre s'était arrêtée. Au-dessus de lui la forme d'un disque couleur de feu était en train de disparaître. Le Dr. Paltsev retourna chez lui, continua à travailler comme si rien n'était arrivé. Mais la nuit, très souvent, il rêvait qu'il avait été monté à bord de l'engin pendant qu'il était inconscient. (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 36)
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        1978
        URSS, sud de la Russie
Le Dr. A.I. Nikolav, professeur en histoire respecté, a dû être hospitalisé pendant trois mois pour se rétablir de sa rencontre rapprochée. Avec trois de ses collègues il était en vacances, campant dans le sud de la Russie, lorsqu'ils ont découvert un objet en forme de disque, métallique, partiellement caché dans les hautes herbes. L'une des quatre personnes a lancé quelques pierres vers l'objet : les cailloux semblaient disparaître dans l'engin. Tous les quatre se sentirent alors sous l'influence d'une force étrange. Nicolaev perdit conscience, les autres, malgré qu'ils furent chancelants et faibles, l'emportèrent tant bien que mal. Tandis que deux collègues restaient avec l'homme inconscient, le troisième partit à la recherche de secours. Les deux amis restés en sentinelle, s'endormirent, comme par enchantement. A leur réveil il y avait là deux petites silhouettes, hautes de moins d'un mètre, en tenues d'astronautes et coiffés de casques. Voyant que les terriens se réveillaient, les deux extraterrestres se dépêchèrent vers leur engin. L'objet luisait comme du feu en disparaissant dans le ciel. (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 37)
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        1979, 3 janvier
        USA, sur une route en Floride
Dans la soirée Filiberto Cardenas, technicien conduisait avec à bord de sa voiture, sa fille de 13 ans et un couple d'amis. Le moteur et l'éclairage tombent en panne. Les hommes descendent et ouvrent le capot. Des flashes rouges et violents de lumière se réfléchissent sur la carrosserie. Un fort bourdonnement vient du ciel et Cardenas sent l'engourdissement le gagner. Il ne peut plus bouger. Bientôt ses pieds ne reposent plus sur le sol et son corps commence à l'élever dans les airs. Il se sent quitter de la terre et hurle: "Ne me prenez pas, ne me prenez pas!" Son ami, Fernando Marti, contemple cette invraisemblable ascension. Dans le ciel un gros engin lumineux passe et disparaît. Cardenas reprit connaissance au milieu d'une route où il manqua de se faire écraser, à 26 km de là. Marti déposa sous serment avoir vu Cardenas s'élever dans les airs. Sous hypnose Cardenas raconte qu'un alien essayait de lui parler en allemand, en anglais, puis en espagnol. Pour changer de langue cet ET tournait un bouton sur sa poitrine! Il subit un examen physique approfondi qui lui laissait 108 marques sur le corps. Ensuite l'ovni plongea sous l'eau à grande vitesse et Cardenas fut conduit à une base sous marine où des humains travaillaient avec les aliens. Les différentes races d'aliens portaient des costumes d'époque avec cape et grosses chaînes. Il vit le "trône" de leur chef. Par la suite d'autres rencontres Cardenas a établi une relation amicale avec les ufonautes. Il est volontairement monté dans un ovni en compagnie de sa femme Iris. Aujourd'hui il refuse de parler de son expérience et est devenu très religieux. (Marie-Thérèse de BROSSES: "Enquête sur les enlèvements E.T." - Plon 1995, p. 279, 280)
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        1979, 3 janvier
        AFRIQUE DU SUD, Mindalore, Krugersdorp (Transvaal)
Meagan Quezet et son fils André virent un ovni atterrir; 5 ou 6 entités en sortirent; elles parlèrent entre elles dans une langue incompréhensible. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 351) Un ovni atterrit près de sa maison et en sortirent une demi douzaine de petits hommes noirs. C'était vers minuit, elle venait de prendre son fils André, 12 ans, pour faire un tour, car le garçon n'arrivait pas à dormir. Ils virent arriver une lumière rouge du ciel. Et soudainement, ils se trouvaient à moins de 40 mètres face à l'engin qui avait atterri sur la route et tout près 5 ou 6 petits hommes à peau noire. L'un d'eux portait la barbe et semblait être le chef. « Je lui dis « hello » dit André, mais je n'ai pas compris ce qu'il m'a répondu. Je me suis encouru pour aller chercher mon père. » A ce moment les entités ont sauté en l'air, à 1 m 50 environ, et ils ont disparu par une porte dans l'engin. Cette porte a coulissé pour se refermer, et les pieds d'atterrissage, de longs tubes métallique, se sont étendus. L'appareil a disparu en l'air accompagné d'un petit bourdonnement. De chaque côté de la porte l'appareil portait de brillantes lumières roses. Les entités portaient des uniformes blancs ou légèrement roses et des casques blancs. (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p.46, 47)
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        1979, janvier
        USA, Gainesville (Floride)
M.M. Philip S. CALLABAN ET R. W. MANKINS, CHERCHEURS DU LABORATOIRE DE RECHERCHES BIOLOGIQUES DE GAINESVILLE, ONT CONSTATE QUE DES APPARITIONS D'OVNI CORRESPONDAIENT AVEC LE PASSAGE D'ESSAIMS DE PAPILLONS DU VER DE L'EPICEA. LES EXPERIENCES FAITES EN LABORATOIRE PAR LES DEUX CHERCHEURS ONT CONFIRME QUE CES PAPILLONS CREAIENT UNE IONISATION DE L'AIR SOUS L'INFLUENCE DE CHAMPS ELECTRIQUES VARIABLES (« Science et Vie » de janvier 1979, cité par (Christian DE ZAN : « Guide du Chasseur de Phénomènes OVNI », éd. De Vecchi 1980, p 28)
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        1979, 4 mars
        URSS, Chernyakhov
Alexander Podkopaev rentrait du foin dans la grange lorsqu'il aperçut au sommet d'une colline distante de 500m, deux dômes brillants. Sous une impulsion soudaine il posa sa fourche et se mit à courir dans leur direction. Il était encore à une centaine de mètres quand il vit l'un des dômes se couvrir d'une lueur violette et s'élever verticalement dans l'air puis s'éloigner à vitesse fantastique. Malgré son inquiétude, mais poussé par la curiosité, utilisant des couverts et rampant le long des taillis, l'étudiant (en vacances dans la datcha de ses parents) parvint sans encombre à quelques dizaines de mètres de l'objet qui n'était pas posé au sol, mais flottait à un mètre de hauteur environ. "Je n'en cru pas mes yeux. C'était trop fou pour être crédible. Devant moi, quatre créatures naines se tenaient devant la soucoupe. Elles avaient les bras et un buste d'une taille à peu près normale, mais des jambes minuscules. Ils étaient accroupis près de l'engin et semblaient occuper à étaler des objets métalliques brillants sur le sol. Ils portaient des combinaisons grises parsemées de petits points noirs et un casque conique de couleur bleu argent. Une sorte de masque respiratoire couvrait le bas de leur visage et de grosses lunettes dissimulaient les yeux. Tout à coup ils se tournèrent dans ma direction. L'un d'eux leva un bras. Il était si long qu'il doublait presque sa taille. Ils ramassèrent les objets et j'avais l'impression qu'ils rentraient dans l'engin à travers les parois. Je les vis encore quelques instants dans le dôme par transparence. Une lueur verte recouvrit l'engin et il ne tarda pas à décoller." (J.-L. B. - Nostra - 23.7.1980)
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        1979, 5 mars
        ESPAGNE, Canaries, Ténériffe
Un photographe amateur prit plusieurs diapositives d'une boule de lumière qui montait de la mer sur les côtes de la Grande Canarie. Juan José Benitez
(note de vog : Espagnol , ufologue, auteur de science-fiction et de livres ufologiques) y vit un ovni, mais le général Emilio Garcia Conde lui avoua qu'il s'agissait d'un missile du type Polaris lancé à partir d'un sous-marin soviétique en plongée aux Canaries et qui devait atteindre une cible située en Sibérie. Sur les diapositives on distingue parfaitement la boule de feu (gaz d'éjection), une sorte de fine aiguille métallique (missile) et même le sillage lumineux. (Inforespace n° 78 p. 24 et n° 89 p. 24)
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        1979, 11 mars
        France, Saint Marcel en Dombes
Il est 0 h 45. Un restaurant (…) est soudain plongé dans le noir. Mais au même instant l'intérieur et l'extérieur s'illuminent comme en plein jour. Se précipitant dehors, le propriétaire découvre l'ensemble de l'agglomération baignant dans une intense lumière de couleur indéterminée bleu vert mauve. La panne est générale. (…) Son épouse (d'un pisciculteur) a constaté pour sa part la rupture d'un fil d'une ligne à haute tension passant au-dessus de l'eau, d'où se sont échappées des boules de feu qui ont disparu dans l'eau. Le lendemain le pisciculteur a dénombré dans ses bassins près de 1800 kg de poissons morts. (…) les occupants d'une voiture (…) décrivent la lumière sous l'apparence d'une boule … « de couleur indéfinie verte bleue mauve. Celle-ci était immobile à 8 ou 10 m. du sol. » La lumière paraissait s'arrêter à deux mètres du véhicule. Lorsque la voiture avançait elle la précédait en maintenant constamment cette distance de deux mètres. Cette masse, selon leurs estimations, pouvait avoir entre 10 et 15 m de diamètre. (…) Après autopsie la mort des poissons est attribuée à une double cause : au passage du courant dans l'étant en provenance de  la ligne qui le surplombait, et à un empoisonnement occasionné par de l'aluminium en fusion . (…) (Robert ROUSSEL : « Ovni, les vérités cachées de l'enquête officielle », éd. Albin Michel 1994, p 74 à 77)
(note de vog : quelle absurdité ! comment des poisons électrocutés peuvent-ils encore s'empoisonner ?)
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        1979, 16 mai
        BRESIL, Sobrado (Minas Gerais)
Vers 10 h 30 Arlindo dos Santos était à la chasse avec deux amis. A la sortie d'un bois, alors qu'il était à ce moment-là seul, il aperçut soudain un objet bizarre en train d'atterrir à 200 m de lui. C'était un cylindre vertical d'un mètre de haut et de 25 cm de diamètre avec une lumière clignotante, alternativement rouge et blanche, à l'extrémité supérieure. Arlindo sortit l'appareil photographique de sa musette et prit une photo du mystérieux objet qui disparut aussitôt. Arlindo aperçut alors un second objet semblable, mais un peu plus long, qui avait la forme d'une toupie avec une hélice sur le dessus, et une pointe très mince, de 20 cm de longueur, à sa partie inférieure. Cet objet vint se planter dans le sol à quelques mètres d'Arlindo, juste le temps de prendre une photo, puis disparut aussi soudainement que le premier. Arlindo en aperçut alors un troisième un peu plus loin. Celui-là avait la forme d'un tonneau étroit d'environ 2 m de long, avec des bandes verticales rouges et blanches, des ailerons sur les côtés et il était coiffé d'une grande hélice. Arlindo prit également une photo de ce troisième objet, qui disparut aussi rapidement que les deux autres. C'est alors qu'il aperçut un quatrième objet beaucoup plus grand, une soucoupe volante classique d'environ 6 m de diamètre et de couleur blanche, avec des hublots sur le côté, qui se posa à quelques mètres d'Arlindo sur quatre pieds terminés par des disques plats. Arlindo essaya alors de prendre une 4ème photo, mais l'engin dirigea sur lui un faisceau de lumière aveuglante qui le terrorisa au point qu'il lâcha son appareil et essaya de partir en courant, mais il resta paralysé sur place. Il se rappelle avoir vu alors deux humanoïdes équipés comme des astronautes, avec une combinaison, des gants et un casque vitré d'où sortait un tube souple relié à un réservoir cylindrique qu'ils portaient sur le dos. Ils semblaient parler avec leur bouche, mais leur voix sortait derrière eux. Les deux humanoïdes amenèrent Arlindo vers la soucoupe en le tenant chacun sous un bras (...) Après avoir monté un escalier de 4 marches il fut accueilli par un troisième humanoïde qui lui demanda s'il était intelligent et instruit. Il répondit que non. L'inconnu le fit entrer par une porte rectangulaire. L'intérieur de l'engin était de couleur brune et sentait la poussière et il y faisait très froid; s'y trouvaient deux humanoïdes équipés de la même manière, assis dans des fauteuils. Ces êtres avaient des yeux bridés revenant sur le côté, le nez droit, la bouche fendue comme s'ils riaient avec des lèvres fines et pas de barbe. Ils avaient l'air d'écrire à la machine. A ce moment là Arlindo vit apparaître une jeune femme très belle, habillée de blanc, avec des gants mais sans casque. Elle était assez petite mais très jolie, le teint mat, les cheveux foncés plaqués sur le côté et des traits absolument semblables à ceux d'une jeune et jolie Terrienne. Elle l'amena dans la pièce voisine où se trouvait un appareil qui ressemblait à un grand frigidaire.
(note de vog: reprenons: 2 bonshommes dehors, 1 bonhomme en haut de l'escalier, 2 bonshommes assis dans un fauteuil + Arlindo + 1 humanoïde femelle + des fauteuils et des claviers d'ordinateurs + un grand frigidaire: cela fait beaucoup de monde et de mobilier pour une soucoupe (non pas une sphère) de 6 m de diamètre!)(...) Leçon d'astronomie sur écrans, voyage (?) et retour à terre. (...) (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du Cosmos" - Laffont 1980, p. 64 à 68)
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        1979, 26 (29?) mai
        CHILI, Antofagasta
Pendant un vol d'entraînement l'instructeur et l'élève pilote ont vu le soir un objet non identifié. Les contrôleurs radar les avaient avertis de sa présence. C'était une sorte de triangle noir avec deux petites queues. L'ovni vira et s'éloigna à une vitesse supérieure à celle du son. (Bob PRATT - USA qui dit le 29) . Le 26 mai l'instructeur Danilo Catalan Farias, pilote à la base aérienne de Cerro Moreno, fit un vol d'entraînement quand il fut averti par la tour de contrôle de la présence d'un appareil non identifié. Catalan reçut l'ordre, de même qu'un autre pilote, d'intercepter et d'identifier. L'autre pilote ne trouva pas l'objectif. Danilo Catalan accélérait avec le F-5 car il se trouvait à une vingtaine de miles de l'inconnu, dont l'écho s'inscrit sur le radar de bord, de manière à faire supposer qu'il était plus grand qu'un avion de ligne. L'objet se déplaçait alors à la vitesse de 0,92 Mach et à une altitude d'environ 33.000 pieds. Danilo Catalan parvenait à se rapprocher jusqu'à dix miles, ce qui lui permit un contact visuel tout en continuant la poursuite pour se trouver à deux miles de l'ovni. A cette distance on doit pouvoir identifier n'importe quel appareil en l'air. Il décrit un triangle noir avec deux petites queues. A ce moment l'inconnu accélérait et prit un virage à angle droit, ce qui fut confirmé à terre. La vitesse de l'inconnu atteint alors au moins Mach 3.
LA DESCRIPTION DE L'OBJET ET DE SES CARACTERISTIQUES, RESSEMBLE A L'APPAREIL AMERICAIN SR-71, PLUS CONNU SOUS LE NOM DE "BLACK BIRD", CAR IL EST D'UNE COULEUR BLEUE SOMBRE TRES INTENSE ANTIREFLECHISSANTE. C'EST UN AVION DE RECONNAISSANCE STRATEGIQUE, D'ESPIONNAGE, FABRIQUE PAR LA LOCKHEED CALIFORNIA CO, ET EST LE SUBSTITUT DU FAMEUX U-2. IL REALISAIT SON PREMIER VOL LE 26 AVRIL 1962, ET LA CONSTRUCTION POUR L'ARMEE AMERICAINE COMMENCAIT EN DECEMBRE, SOUS L'APPELLATION SR71A SES QUALITES DE VOL SONT EXCEPTIONNELLES, IL EST CAPABLE D'ATTEINDRE UNE ALTITUDE DE 24.400 m. ET DE DEVELOPPER UNE VITESSE DE 3.220 Km/h (STENDEK n° 40, junio 80)
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        1979, fin du printemps
        CHINE, Klamayi (désert de Gobi)
… un jeune ouvrier qui gardait le réservoir a remarqué, avant le lever du soleil, un objet ovale argenté posé sur le désert de Gobi, à l'est du réservoir. Cet énorme objet lumineux 'envolait, atterrissait, sans aucun bruit ni nuage de poussière. (…) Il téléphona tout de suite au Q. G. des champs pétrolifères , qui à son tour alerta l'unité de l'armée populaire stationnée dan cette localité. Armés de chars et de canons, les soldats de cette unité allèrent immédiatement à l'est du réservoir. Quand ils furent arrivés là, ils virent l'objet brillant se poser encore sur le désert (…) ils se dispersèrent aussitôt pour encercler l'objet inconnu. (…) Les gens s'approchèrent de plus en plus de l'objet qui avait une surface brillante et lisse et ne faisait aucun bruit. Au grand étonnement de tous, l'objet insolite décolla et, à une vitesse vertigineuse, monta comme un éclair dans le ciel, verticalement(…) Lorsqu'il s'éleva on ne sentit pas de souffle d'air, l'herbe et le sable sur le sol ne bougèrent pas. (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p 137, 138)
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        1979, 28 juin
        BRESIL, Mirassol
Vers 3 heures du matin Antonio Ferreira était de garde sur un chantier en construction, lorsqu'il aperçut un engin étrange qui se posait à 50 mètres de lui. Il se trouva soudain face à face avec trois humanoïdes nains dont la taille était inférieure à un mètre. L'un d'eux dirigea sur lui un jet de lumière rouge qui le paralysa. Les humanoïdes étaient vêtus d'une combinaison blanche qui leur couvrait même la tête, avec un insigne sur la poitrine représentant une croix dans un cercle. Antonio perdit connaissance et se réveilla à l'intérieur d'une petite capsule de forme ovale et de couleur rouge, avec des bancs gris tout autour et un tableau de bord couvert d'instruments. Il fut alors conduit dans une grande pièce où se trouvaient une vingtaine d'humanoïdes: certains étaient bruns, d'autres verts, ils avaient des têtes énormes, des oreilles pointues, une grande bouche, de grands yeux. Ils parlaient une langue incompréhensible. Il devait s'asseoir et perdit à nouveau connaissance. Lorsqu'il se réveilla il se trouvait sur le chantier de construction et il était 6 heures du matin. Le chien d'Antonio, sur le chantier avec lui, fut paralysé aussi et refusa par la suite d'entrer sur le chantier. La police trouva un cercle parfait où l'herbe était brûlée. A noter qu'à trois heures du matin, tous les postes de télévision se sont arrêtés dans les environs et des témoins ont vu une boule lumineuse descendre sur le chantier. (...) (Maurice CHATELAIN: "Les messagers du cosmos" - Laffont 1980, p. 206, 207)
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        1979, 28 juillet
        CHINE, lieu non précisé
… à 5 heures du matin je faisais des exercices physiques sur le terrain de sport. Soudain une boule de feu est montée dans le ciel au-dessus de la montagne. Elle était trois fois plus grande que la pleine lune, se trouvait à 500 m d'altitude, se déplaçait lentement en direction du sud. Quand elle est arrivée au zénith, une deuxième boule de feu a jailli de la première qui tout de suite est devenue une couronne de lumière et peu à peu s'est effacée dans le lointain. La deuxième boule de feu, aussi grande que la première, a craché à son tour une troisième boule de feu semblable et la deuxième répéta ce qui s'était passé pour la première et disparut à son tour dans le lointain. J'ai vu en tout sept boules de feu qui se succédaient et au bout de quelques minutes, le phénomène s'est dissipé complètement. (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p 138)
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        1979, 30 juillet
        ITALIE, près de Gênes
(cfr: décembre 1978) Troisième enlèvement de Fortunato Zanfretta. Non documenté mais mentionné par GUIEU (suite documentée au 2 décembre 1979) (Jimmy GUIEU: "Nos maîtres les extraterrestres" - Presses de la Cité 1992, p. 96)
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        1979, 11 août
        MALAISIE, Lumut
A partir du 11 août et pendant quelques jours des étudiants virent la nuit trois créatures velues, hautes de 3 m environ, avec des yeux rouges. Les jeunes témoins dirent que ces entités disparaissaient, comme "devenant de l'air". (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 342)
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        1979, 26 août
        CHINE, Chengcun (Anhui)
De 22 h 45 à 22 h 50 (…) on a vu un objet volant inconnu dans le ciel. C'était une navette gigantesque, en flammes, dont la tête cylindrique avait un diamètre angulaire de 1,5° et la queue 0,5°. Tout l'objet était rouge comme une barre de fer retirée du feu. Seule la partie inférieure de cette navette paraissait un peu sombre. L'objet volait à une vitesse plus lente que celle d'un avion de ligne. A vue d'œil il se déplaçait à une hauteur de 200 m du sol.(…) Silencieusement, se déplaçant horizontalement, la navette à survolé le campement d'une unité de l'armée provisoirement stationnée dans ce village, puis à coupé la route de Daba et, ayant fait un virage de 180°, elle a rebroussé chemin allant dans la direction d'où elle était venue (…) Quand elle arriva au niveau du flanc de la montagne on la vit monter lentement dans le ciel, éclairant la montagne qui devint toute rouge. Puis elle franchit le sommet pour disparaître en un clin d'œil derrière la montagne. (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p 139, 140)
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1979, 8 septembre
        France, près de Pamiers (Arriège)
Les gendarmes arrêtèrent sur une route près de Pamiers un couple qui déambulait totalement nu.. ; L'homme portait une torche électrique allumée.. ; Ces touristes belges en vacances déclarèrent aux gendarmes qu'ils fuyaient car la fin du monde était proche et que les extra-terrestres allaient venir(Guy TARADE : « J'ai retrouvé la piste des extra-terrestres ». éd. Alain Lefeuvre 1980, p.184)
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        1979, 20 septembre
        CHINE
LANCEMENT TRIPLE DES TROIS SATELLITES CHINE 9, 10 ET 11. ON SUPPOSE QU'IL S'AGIT DE SATELLITES DE RECONNAISSANCE PHOTOGRAPHIQUE, MAIS ON N'EN SAIT PAS PLUS, LES CHINOIS AYANT ETE D'UNE FACON GENERALE PLUS AVARES DE DETAILS SUR LEURS SATELLITES QUE NE LE FURENT LES SOVIETIQUES. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 19)
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        1979, 22 septembre
        AU LARGE DE L'AFRIQUE DU SUD
A 15 HEURES, A UN MILLIER DE KILOMETRES AU LARGE DE L'AFRIQUE DU SUD, PAS TRES LOIN DES ILES DU PRINCE EDOUARD, DEUX ECLAIRS JAILLISSENT AU-DESSUS DE L'OCEAN. DEPUIS 110.000 KM D'ALTITUDE, UN SATELLITE VELA DETECTE DANS UNE ZONE DE 1500 KM DE DIAMETRE, UN ECLAIR LUMINEUX TRES BREF QUI S'AFFAIBLIT PENDANT UNE FRACTION DE SECONDE, PUIS REDOUBLE D'ECLAT. (...) OR, CE DOUBLE FLASH EST CARACTERISTIQUE D'UNE EXPLOSION NUCLEAIRE. (...) JUSQU'A CETTE DATE, DES ECLAIRS A DOUBLE FLASH ONT DEJA ETE OBSERVES A 41 REPRISES, ET A CHAQUE FOIS LES COUPABLES ETAIENT SOIT LA FRANCE, SOIT LA CHINE, NON SIGNATAIRES DU TRAITE SUR L'INTERDICTION DE CES ESSAIS. (...) MAIS CETTE FOIS LE SUSPECT EST L'AFRIQUE DU SUD QUI FIT EXPLOSER UNE BOMBE NUCLEAIRE DANS L'ATMOSPHERE. ("La Guerre des Satellites" - tome 3 - Pierre Kohler, éd. Famot 1982, p. 71 à 76)
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        1979, septembre
        GRANDE BRETAGNE, Felling (Tyne and Wear)
Une jeune femme de 23 ans, au lit, vit vers les 4 heures du matin, un disque en forme de cloche scintillante, entrer dans la pièce. « Il y avait un bourdonnement tout partout, dit-elle aux enquêteurs, et je me sentais paralysée. Alors 12 créatures apparurent, petites, comme des poupées. Elles émettaient des bruits ressemblant à un cliquetis et semblaient m'observer. L'une d'elles m'a touchée. Puis elles ont disparu ». (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p. 31, qui cite Jenny Randles du FSR)
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        1979, 5 ou 9 novembre
        GRANDE BRETAGNE, Livingston, Lothian (Ecosse)
Robert Taylor, ouvrier forestier, rencontra un ovni dans la forêt. L'objet était rond, gris foncé, de 7 m à 7,50m de diamètre, à côté duquel émergeaient deux sphères plus petites avec des "pieds" qui lui coururent après l'attachaient par les jambes et l'amenaient à l'intérieur de l'ovni. Il ne vit aucune entité, il n'eut affaire qu'à ces sphères, qui semblaient le maintenir sous contrôle. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London, 1989, p. 97 à 99 qui date du 5 novembre) Robert Tayler, 50 ans, ouvrier forestier, père de 7 enfants, se trouvait avec son chien setter sur la colline Dechmont. Il eut dans les narine une odeur chimique et s'avançait vers une clairière pour voir de quoi il s'agit. Il y avait là un engin qui ressemblait à un vaisseau extraterrestre. Soudainement deux « extraterrestres » en émergeaint. Ils ressemblaient à des « mines » ou à des roues avec des bras. Ils arrivaient lentement d'abord, puis accéléraient et l'attrapaient par les jambes (ou plus tard il y eut des marques). Le forestier tenta de se débattre mais perdit conscience. Quand il se réveilla, l'engin et les « choses » étaient partis. Taylor atteignit sa station wagon garée plus loin, mais elle était embourbée et il l'abandonna, rentrant à pied. Quand la police vint sur place, le moteur de la voiture tournait toujours, Taylor, dans sa panique ne s'en était pas rendu compte. (Roger BOAR et Nigel BLUNDEL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p 73, qui date du vendredi 9 novembre)
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        1979, 11 novembre
        ESPAGNE, Palma de Mallorca-Ténériffe-Las Palmas (en vol)
A 22 h 47 la Supercaravelle de la TAE décolle de Palma de Mallorca à destination des Canaries(vol JK-297) avec 109 touristes autrichiens et allemands. Aux commandes le pilote Javier Lerdo de Tejada, le mécanicien Francisco Javier Rodriguez et Luis de Luque Torre. A 23 h 05 le centre de contrôle de vol de Barcelone lui demande de se mettre sur la fréquence de secours. (...) A 23 h 08 l'équipage fait part au centre de contrôle de vol de Barcelone de la présence d'un engin non identifié sur sa gauche (...) Quelques secondes plus tard l'ovni commença à se rapprocher fort de la Supercaravelle: il avait environ deux fois la taille d'un Jumbo et présentait deux puissantes lumières rouges à ses extrémités. Entre 23 h 08 et 23 h 16 le gigantesque objet se maintint à la hauteur de l'avion (...) s'en approchant à 100 ou 200 mètres(...) le commandant estima ces manœuvres si dangereuses qu'il obligea les passagers à boucler les ceitures et qu'il fit savoir "qu'il ne pouvait continuer à voler et se détournait sur Valence". A 23 h 50 l'avion atterrit à l'aéroport de Manises. Pendant les deux heures qui suivirent plus de 40 témoins attestent la présence de trois lumières très étranges qui restent immobiles au-dessus de la zone des combustibles de l'aéroport. A 2 heures du matin décolla un Mirage F 1 en état d'alerte de la base aérienne Los LLanos à Albacete, piloté par le capitaine Fernando Camara. Il reste 1 h 45 en vol (...) et tenta d'intercepter trois objets volants non identifiés (des informations non confirmées disent que le pilote a entendu dans sa radio des voix d'enfants lui disant de faire demi-tour). Le premier ovni fut repéré et poursuivi par l'aviation de chasse en direction du sud-sud-est. Le second vers l'Aragon et le troisième vers les îles Columbretes jusqu'à Mahon.)Entre 2 h 30 et 3 h un habitant de Soller (Mallorca) parvint à photographier un ovni dans la zone du mont de l'Ofre. Les deux photographies furent saisies par l'armée de l'air. (Inforespace n° 89 p. 25 et 26) (Roger BOAR et Nigel BLUNDELLL : " The World's greatest Ufo Mysteries " éd. Hamlyn 1995, p.176)
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        1979, 25 novembre
        CANADA, près de Montréal
A 3 h 30 du matin le témoin quitte Lachute pour rentrer chez lui où il devait normalement arriver à 4 h 15. "A mi trajet un bruit indescriptible me heurta l'esprit et perdura pour le restant du trajet. C'est dans une courbe à seulement quelques kilomètres de ma résidence que "quelque chose" se produisit. (...) Je me souviens d'avoir observé un objet très brillant avec des lumières rouges, vertes et bleues disposées symétriquement sur l'engin volant. L'ovni serait apparu sur ma droite, se préparant à me couper la route à la sortie de la courbe. Je suis alors entré dans une espèce de nuage bloquant la route. J'en suis sorti presque instantanément pour aller donner sèchement contre un panneau de signalisation routière. Je suis alors sorti de mon véhicule pour inspecter les environs et vérifier les dégâts. Rien de majeur ne m'empêchait de reprendre la route. Je désirais rapidement quitter cet endroit maudit qui ne me plaisait nullement. J'ai alors roulé pendant au plus 5 minutes et je suis rentré à ma résidence. Ma surprise fut grande lorsque je constatai l'heure: il était 5 h 45." (sous hypnose ce témoin révèle avoir été aspiré dans une soucoupe avec sa voiture et avoir subit un examen physique) (Jimmy GUIEU: "Nos maîtres les extraterrestres" - Presses de la Cité 1992 - p. 22 à 26)
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        1979, 26 novembre
        FRANCE, Cergy-Pontoise
Affaire Cergy-Pontoise. A 4 h 30 du matin une sphère de lumière enveloppe la voiture de Franck Fontaine et il disparaît aux yeux de ses amis Jean-Pierre Prévost et Salomon N'Diaye. Le lundi 3 décembre 1979, même heure, il reparaît au même endroit dans une sphère de lumière. Sur le moment il n'a aucune notion qu'une semaine s'est écoulée, n'a aucun souvenir et ne sait pas qu'il est à la une de tous les médias, ni que ses amis ont des ennuis avec la gendarmerie à cause de cela. (COLLECTIF: GUIEU/ FONTAINE/ PREVOST/ N'DIAYE: "Contacts ovni à Cergy-Pontoise" éd. France Loisirs - éd. du Rocher 1980)
(en REALITE: toute l'affaire serait un CANULARD, savamment monté par les acteurs et brillamment exploité par l'auteur...)
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        1979, 2 décembre
        ITALIE, près de Gênes
(cfr: 30 juillet 1979) Fortunato Zanfretta démarre à 21 h 30 du centre de Gênes pour patrouiller aux abords de la ville. Un premier incident se produisit lorsqu'il eut fait le plein à la station-service. Sortant de l'ombre une voix lui ordonna de s'approcher, ce qu'il fit, pour se trouver nez à nez avec un être de grande taille, à la tête ovoïde, chauve, portant un vêtement collant d'aspect métallisé. L'être lui ordonna de démarrer. Il obéit, incapable de s'opposer. Sur les collines qui dominent Gênes il se dirigea vers un petit nuage qui descendait du ciel et là sa voiture fut aspirée dans le nuage qui s'avéra être un vaisseau gigantesque. (...) Visite de l'astronef, cylindres avec "un oiseau" et "un homme des cavernes" dans un liquide bleu. Il fut ramené au sol. Ses collègues, sans nouvelles de lui depuis cinq heures s'étaient mis à sa recherche. L'un d'eux vit soudain décoller un engin en forme de cône tronqué et il dégaina et tira plusieurs coup de feu vers l'ovni. (...) Avec ce quatrième kidnapping prenait fin la terrible expérience de Fortunato Zanfretta. (Jimmy GUIEU: "Nos maîtres les extraterrestres" - Presses de la Cité 1992 - p. 97, 98)
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        1979, 9 décembre
        France, près de Dijon
  1. Observation d'une soucoupe près du sol par un pilote (9 décembre 1979)
Enquête du GEPAN/SEPR4 et témoignage devant le comité Ancien lieutenant-colonel de l'armée de l'Air, Jean-Pierre Fartek (F) est, au moment des faits, pilote de Mirage III au sein de la 2ème escadre de chasse de Dijon. Aujourd'hui F est pilote dans une compagnie privée. F habitait, et habite toujours, dans le même village à proximité de Dijon. Sa maison est située au bout d'un lotissement donnant sur les champs. A environ 250 m se trouve un bouquet d'arbres d'une hauteur moyenne de 15 m au maximum. Le 9 décembre 1979 vers 9 h 15 du matin, F et sa femme observent un objet insolite (appelé M par la suite) dans le champ avoisinant leur maison ; la météo et la visibilité sont excellentes. M, dont ils estiment les dimensions à 20 m de diamètre sur 7 m d'épaisseur, est en vol stationnaire à 3 m de hauteur environ devant le bouquet d'arbres qu'il masque en partie. En parfaite concordance avec sa femme, le témoin F le décrit comme :
- ayant la forme de deux soucoupes superposées aux contours très nets, renversées l'une sur l'autre, ne présentant ni hublots ni lumières, étant de couleur gris métallique sur la partie supérieure, et plus foncée (bleutée) sur la partie inférieure, avec une séparation parfaitement délimitée entre le dessus et le dessous de l'engin. Cette différence de couleur ne pouvait pas être due à une différence d'éclairage, compte tenu de la position du soleil, animé de façon permanente de très légères oscillations, dont la fréquence n'était pas très rapide, comme quelque chose recherchant l'équilibre, ne faisant aucun bruit, ne causant aucune turbulence au sol ni lors du vol stationnaire, ni au moment du départ, n'ayant laissé aucune trace sur le sol. Après un temps d'observation qu'il apprécie difficilement, F voit M osciller plus fortement, il a l'impression que M s'incline un peu vers l'avant (comme le fait un hélicoptère après le décollage en début de translation horizontale). F voit M partir à l'horizontale, à très basse altitude, sans bruit, sans laisser de traînée, à très forte vitesse et disparaître à l'horizon en quelques secondes. F a témoigné à la gendarmerie de l'Air de la base aérienne de Dijon. Il croit savoir que d'autres personnes ont observé le phénomène sans oser aller témoigner, notamment ses voisins et leurs enfants qui auraient fait la même observation. Cette observation, d'un pilote professionnellement bien averti des phénomènes aéronautiques, n'a jamais reçu d'explication. (Rapport COMETA, 1999)
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        1979, 13 décembre (octobre ?)
        CHINE, province de Zhejiang, Lanxi
Deux camionneurs roulant en convoi, virent sur la route, en deux endroits différents, des silhouettes étranges. C'étaient des entités mesurant environ 1m 40 de haut, portant casque et combinaison spatiale, portant sur le dos un appareil empaqueté muni de tuyaux. Quand l'un des chauffeurs de camion sortit pour aller les voir de plus près, elles disparurent. (Janet and Colin BORD: "Modern Mysteries of the World" - Guild Publishing London 1989, p. 322) ) (« Dossiers OVNI », éd. Marshall Cavendish, Paris 1998, Hors série, p. 42, qui date au 13 octobre 1979)
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        1979, 30 décembre
        CHINE, Hun-Ming (Sichuan) ou Yun'nan ?
L'astronome Zhang Zhouseng de l'observatoire de Yunnan, s'avisa de la présence d'un objet volant insolite à 7 h 40 du matin. Quelques minutes plus tard des dizaines de témoins s'amassaient pour observer à leur tour. La vitesse de la chose était phénoménale et elle évoluait sur angle de 30° dans le ciel. En raison de cette vitesse il était difficile de se faire une idée exacte de la forme de l'objet. La partie arrière se divisait en une sorte de trident aux couleurs jaune et rouge. La forme entière était en gros semblable à celle d'un arc électrique avec une longitude approximative d'une dizaine de degrés par rapport à la voûte céleste. Sa luminosité contrastait avec la pureté du ciel matinal (Gilles DANJOU - Nostra - 18.11.1982)
.. ; nous observions le ciel clair à l'Observatoire de Yun'nan. Soudain les astronomes découvrirent à 20° du zénith, un objet bizarre volant d'ouest en est. Sa vitesse était semblable à celle d'un avion à haute altitude. Nous n'avons pas pu distinguer la forme de son nez, car l'objet se trouvait très haut dans le ciel. Ce qui nous frappait le plus, c'est que derrière lui, on observait trois courants de particules matérielles en flammes., très brillantes, de couleur rouge-jaune. Vu de loin, cet objet ressemblait ) un arc électrique, de longueur angulaire 10° A ce moment là le soleil n'était pas encore levé, un objet d'une telle luminosité, surgissant dans le ciel d'un azur profond, offrait un spectacle vraiment magnifique. Durant notre observation nous n'avons entendu aucun bruit. A en juger par sa façon de voler, on aurait pu prendre cet objet pour un avion. (à par les astronomes de l'Observatoire, il y avait encore d'autres témoins.)… (SHI BO : « La Chine et les extraterrestres », éd. Mercure de France 1983, p 142, 143)

Chronologie OVNI par Godelieve Van Overmeire retour